Élections législatives de 1958 dans le Puy-de-Dôme
Dans le monde d'aujourd'hui, Élections législatives de 1958 dans le Puy-de-Dôme est devenu un sujet pertinent et d'un grand intérêt pour un large public. Qu'il s'agisse de Élections législatives de 1958 dans le Puy-de-Dôme dans le contexte de la politique, de la science, de la culture ou de tout autre domaine, son importance et son impact sont indéniables. Dans cet article nous explorerons les différentes facettes de Élections législatives de 1958 dans le Puy-de-Dôme, son évolution dans le temps, ainsi que son impact sur la société actuelle. Depuis ses origines jusqu’à aujourd’hui, Élections législatives de 1958 dans le Puy-de-Dôme a joué un rôle crucial dans le façonnement du monde dans lequel nous vivons, et il est crucial de comprendre sa portée et son importance aujourd’hui.
Est élu au premier tour le candidat qui réunit la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de voix au moins égal au quart (25 %) des électeurs inscrits dans la circonscription. Si aucun des candidats ne satisfait ces conditions, un second tour est organisé entre les candidats ayant réuni un nombre de voix au moins égal à 5 % des suffrages exprimés. Au second tour, le candidat arrivé en tête est déclaré élu[1].
Le seuil de qualification, basé sur un pourcentage relativement faible des suffrages exprimés, tend à faciliter l'accès au second tour de plus de deux candidats. Les candidats en lice au second tour peuvent ainsi fréquemment être trois, un cas de figure appelé « triangulaire ». Lorsque quatre candidats s'affrontent au second tour, on parle de « quadrangulaire ».
Résultats
Résultats à l'échelle du département
Résultats départementaux des élections législatives de 1958 dans le Puy-de-Dôme[2]
↑ a et bMinistère de l'Intérieur, Les élections législatives : métropole - Départements d'outre-mer : 23 et 30 novembre 1958, Algérie : 30 novembre 1958, départements des Oasis de la Saoura : 30 novembre 1958, territoires d'outre-mer : 19 avril-10, 24 et 31 mai 1959, Documentation française, , p. 18.