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Sous le nom de « maison des pauvres Saint-Étienne », première mention officielle de l'asile épiscopal qui est à l'origine de l'hôtel-Dieu de Châlons-sur-Marne[4].
En Chine, sous l'administration de Cai Jing, création de nombreuses nouvelles pharmacies impériales[5].
Vers 1114 : Hildeburge de Gallardon, veuve de Robert Bréval, dit Robert II d'Ivry, comte de Mellenton, fonde un hospice pour les pauvres à Pontoise[6].
Divers
Premier emploi, en Touraine, à propos d'un certain Guillaume, médecin à l'abbaye de Noyers, du mot « docteur » (doctor) pour désigner un médecin, terme jusqu'alors réservé au « maître » (magister), c'est-à-dire au « professeur[7] ».
Selon son épitaphe, un certain Goschon, seigneur breton enterré au prieuré de Béré, serait mort à Montpellier malgré les soins qu'il était venu y chercher[8].
c.1044-1045 – c.1113-1114 : fl. Ibn Atharudi, médecin irakien, auteur d'un Sharh mushkil Da'wat al-atibba, commentaire du « Banquet des médecins » d'Ibn Butlan[12].
1080-1114 : fl. Guillaume, médecin à l'abbaye de Marmoutier puis à celle de Noyers, élève de Raoul Leclerc (fl.c.1030 – 1068[7]).
1114-1115 : selon le Liber Maiolichinus(ca), trois frères médecins, fils d'un certain Bono, sans doute lui-même médecin, servent chez les Pisans pendant la guerre menée par une coalition chrétienne contre le taïfa de Majorque[13].
↑(de) Kurt-Peter Gertz, Auf du und Du mit dem Pilgerapostel : Dialoge auf dem französischen Jakobsweg « via Lemovicensis », Solingen, Verlag U. Nink, , 200 p. (ISBN978-3-934159-44-0, lire en ligne), p. 156.
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