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29 décembre : Hug Descolomer fonde par testament à Vilanova de Palafolls, ancien nom de Malgrat de Mar, en Catalogne, un hôpital destiné à recevoir les indigents et les malades des environs, qui ouvrira en , et accueillera en la « communauté thérapeutique de Malgrat » (Comunitat Terapèutica de Malgrat(ca)), institution dédiée au traitement des malades atteints de troubles mentaux [2].
Fondation de l'Ordre royal des pharmaciens de Valence, en Espagne[3].
Le service médical de la ville de Mons, capitale du Hainaut, comprend trois médecins et quatre chirurgiens[4].
En fondant le King's College de Cambridge, sur un total de soixante-dix places, le roi Henri VI n'en réserve que deux aux étudiants en médecine[5].
Attestée à Capodistria, alors possession de la Sérénissime, la pharmacie au Phénix (Alla Fenice), propriété de la famille Palma, restera en activité jusqu'en 1959[6].
Jean Riparia (né à une date inconnue), reçu docteur en médecine à Poitiers[10].
Références
↑« Université de Bordeaux (1441-1970) », notice IdRef, 30 septembre 2015 [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2017)].
↑(ca) « Antic hospital i capella », Malgrat turisme, s. d. [lire en ligne (page consultée le 10 mars 2018)].
↑Pedro Vernia, « La Pharmacie hospitalière à Valence aux XIIIe, XIVe et XVe siècles », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 84, no 312 « Actes du XXXIe congrès international d'histoire de la pharmacie (25-29 septembre 1995 », , p. 42 (lire en ligne).
↑Robert Wellens, « Les Médecins et Chirurgiens pensionnaires de la ville de Mons (XIVe – XVIIIe siècle) », Technologia, Centre national d'histoire des sciences (Belgique), vol. 10, no 1, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Information for Graduate Students : 2015-2016, King's College Cambridge, s. d. 2015, 51 p. (lire en ligne), p. 1.
↑(en) « Museum Pharmacy « Alla Fenice » », Koper Regional Museum, s. d. [lire en ligne (page consultée le 10 mars 2018)].
↑Philippe Gagnarre, Histoire de l'église d'Autun, Autun, P. P. Dejussieu, , 652 p. (lire en ligne), p. 608.
↑(es) Julio Fernández-Sevilla, « Un maestro preterido : Elio Antonio de Nebrija », Thesaurus, vol. 29, no 1, , p. 1 et suiv. (lire en ligne).
↑ a et bErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 2, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/2), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04716-6, lire en ligne), « Nicolas Burguet », p. 566, « Jean Riparia », p. 473.
↑(it) Federico Di Trocchio, « Cermisone, Antonio », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 23, (lire en ligne).