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30 mars : la Chambre rejette le projet Lamartine sur la propriété littéraire par 154 voix contre 108.
15 avril : la Revue des deux Mondes publie enfin l'article de Gobineau sur Capo d'Istria. Il y fait le procès d'un philhellénisme niais qui prétend voir dans les Grecs modernes les héritiers et les descendants des Grecs antiques. Article non dépourvu de lucidité politique ni de générosité, où Gobineau fonce contre Capo d'Istria, considéré comme l'artisan de la politique russe en Orient, et sert assez curieusement ainsi la politique de Guizot.
19 avril : Victor Hugo termine la rédaction de son Discours de réception à l'Académie.
24 mai : Gobineau va commencer « un ouvrage assez long en prose ». « Ce serait l'histoire des capitaines italiens du XVIe siècle. […1 J'ai toujours raffolé des condottieri. J'ai déjà marqué dans ma pensée Piccinino, Strozzi, Sforza, Trivulzio, Jean de Médicis et surtout le trois fois illustre César de Valentinois si calomnié de nos jours et des siens. »
3 juin : Victor Hugo est reçu à l'Académie française. Son Discours est résolument politique : « dévouer sa pensée au développement continu de la sociabilité humaine ; avoir les populaces en dédain et le peuple en amour. »Salvandy, dans sa réponse, lui dénie toute importance politique et ne cite que ses premiers ouvrages.
9 juin, Bordeaux : Baudelaire, qui vit une vie de bohème à Paris est embarqué quasi de force par son beau-père le général Aupick sur le Paquebot-des-Mers-du-Sud, pour un long voyage à destination des Indes. Il revient le .
17 juillet : Gobineau a achevé la biographie de l'Alviane et écrit pour le journal des Débats un article sur la question de Candie. Il n'a aucune confiance dans le comité légitimiste : « Que faire de ces gens-là dans une affaire où il faudrait apporter tant de mesure, de prudence, d'adresse et de fermeté ? ».
30 juillet : répondant aux vœux de la Garde nationale de Boulogne, Victor Hugo écrit pour l'inauguration d'une statue de Napoléon dans cette ville : Hymne pour l'inauguration de Napoléon (repris dans Toute la lyre).
2 octobre : Balzac signe avec Fume, Hetzel, Paulin et Dubochet un contrat pour ses « œuvres complètes », à paraître sous le titre général : La Comédie humaine.
Incident of travel in Central America, Chiapas and Yucatan, de John Lloyd Stephens, qui révèle au public les hauts lieux de la civilisation maya.
L'Essence du christianisme, du philosophe allemand Ludwig Feuerbach. Il peint l’« aliénation religieuse » comme un stade nécessaire, mais à dépasser dans le développement de l’humanité.
Histoire de la marine française d’Eugène Sue (1835-1841).
Esquisse d’une philosophie (1841-1846), de Lamennais.
G. Pauthier, Les livres sacrés de l’Orient, libr. Firmin-Didot Frères, Paris