De nos jours, Achewiq est un sujet qui a retenu l'attention de personnes du monde entier. Avec les progrès de la technologie et de la mondialisation, Achewiq a acquis une importance sans précédent dans la société moderne. De ses origines à son impact sur la vie quotidienne, Achewiq a suscité un intérêt croissant dans divers domaines, de la science et de la politique à la culture populaire. Dans cet article, nous explorerons en profondeur les différentes facettes de Achewiq, son évolution dans le temps et son influence sur notre quotidien.
Origines culturelles | Musique berbère, Musique kabyle |
---|---|
Scènes régionales | Kabylie et France |
Achewiq (écriture kabyle : acewwiq) est un style musical Kabyle, autrefois réservé aux femmes pour exprimer un sentiment de joie ou de deuil[1].
Il est « chanté » sans instrument sous une forme mélodieuse avec des longueurs d'onde à couper le souffle. Parmi ses interprètes se distinguent : Lla Yamina, Lla Zina, Lla Ounissa, Chérifa, Dhrifa, Ourida, Hnifa, Nouara, la mère de Lounès Matoub (source d'inspiration du chanteur) et bien d'autres.
C'est la musique traditionnelle de Kabylie, souvent chantée par les femmes, qui aborde des thèmes divers[2]. Le mot achewiq signifie en kabyle « phrase ». L'achewiq peut être aussi une joute poétique, les thèmes abordés sont exprimés par des métaphores ou des images. Les personnes qui l’écoutent doivent comprendre le sens au-delà des vers. Ce style de chant est toujours réservé aux femmes, c'est une sorte « d’échange », par des interrogations d'une part, et par des affirmations d'autre part. Il peut être improvisé.
Ces chants traditionnels risquent de disparaître faute de transcription et de conservation destinées à préserver ce patrimoine musical[3].