Aujourd'hui, Agathe Mella est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat dans la société. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Agathe Mella est devenu un élément crucial de la vie quotidienne des gens. Que ce soit dans la sphère professionnelle, personnelle ou académique, Agathe Mella a réussi à avoir un impact significatif sur tous les aspects de la vie moderne. Il est donc important d’analyser en détail et objectivement l’impact que Agathe Mella a sur notre vie quotidienne, ainsi que ses implications à court, moyen et long terme. Dans cet article, différentes perspectives et opinions sur Agathe Mella seront explorées, afin de fournir au lecteur une vision large et complète de ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Directrice de France Culture (d) | |
---|---|
- | |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Léonie Marie Jacqueline Cordier |
Nationalité | |
Activité |
A travaillé pour |
---|
Agathe Mella, née Léonie Marie Jacqueline Cordier le dans le 6e arrondissement de Lyon et morte le à Gaillon dans l'Eure[1], est une personnalité française de la radiophonie. Elle intègre la Radiodiffusion nationale après la Seconde Guerre mondiale et participe à la restructuration de la nouvelle Radiodiffusion-télévision française.
Agathe Mella épouse en 1935 à Neuilly-sur-Seine le Britannique Antoine (dit Tony) Mella, futur lieutenant dans la Résistance et dessinateur de la croix de la Libération ainsi que de la médaille de la Résistance française[2]. Elle participera elle-même à la Résistance au sein de la radio[3].
Première femme responsable de la programmation à Paris Inter (1955-1968), Agathe Mella travaille notamment avec les producteurs Jean Chouquet, François Billetdoux, Jean Garretto, Jose Artur et Roland Dhordain. Pour ce dernier, « c'est grâce à elle que les pères fondateurs de France Inter purent faire aboutir leur projet ». En 1973, elle devient directrice de France Culture, première personnalité féminine à être nommée à ce poste. Elle travaille ensuite à l'ORTF, dans le domaine des affaires étrangères et, jusqu'en 2001, au service des cahiers d'histoire de la RTF, l'ORTF et Radio France[4].