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Albert Frédéric Félix Theisz, né à Boulogne-sur-Mer et mort le dans le 3e arrondissement de Paris[1], est un communard français, élu au Conseil de la Commune.
Ouvrier ciseleur sur bronze, adhérent de l'Association internationale des travailleurs depuis 1867, Albert Theisz anime la grève des ouvriers bronziers parisiens de 1867. Il est un des fondateurs de la chambre syndicale des Sociétés ouvrières. Il est condamné à deux mois de prison au troisième procès de l'Internationale en .
Il est libéré par la proclamation de la République le . Il réorganise les sections syndicales de l'Internationale et est élu au Comité central républicain des Vingt arrondissements. En février, il se présente sans succès aux élections pour l'Assemblée nationale comme candidat socialiste révolutionnaire. Le il est élu au Conseil de la Commune, par les XIIe et XVIIe arrondissements (il choisit le XVIIe) ; il siège à la commission du Travail, de l'Industrie et de l'Échange. Il devient directeur des postes le . Il signe le manifeste de la minorité. Il combat sur les barricades pendant la Semaine sanglante.
Après la chute de la Commune, Albert Theisz se réfugie à Londres, où il reprend son métier et ses activités au Conseil général de l'Internationale. Il profite de l'amnistie de 1880 pour rentrer à Paris, où il meurt peu après.