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Fondation |
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Alliance électorale |
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L'Alliance irakienne unifiée ( الائتلاف العراقي الموحد; translittération : al-I'tilāf al-`Irāqī al-Muwaḥḥad) est la coalition électorale qui a remporté les élections du 15 décembre 2005 en Irak, devenant le principal groupe parlementaire irakien.
L'alliance s'était formée déjà pour les élections du 30 janvier 2005, à partir de groupes chiites, principalement le Parti islamique Dawa et le Conseil suprême islamique irakien. Parmi les groupes adhérents, on notera encore le Congrès national irakien, laïc, dirigé par Ahmed Chalabi, qui a depuis quitté la coalition, et le physicien nucléaire Hussein Chahristani. On y note encore quelques disciples du religieux radical Moqtada al-Sadr qui a préféré ne pas soutenir son parti des Cadres et élites nationaux indépendants, ainsi que certains représentants des sunnites. La coalition était réputée favorisée par l'ayatollah Ali al-Sistani, la plus respectée des figures religieuses en Iraq, bien que l'ayatollah ne se soit pas prononcé officiellement.
En , le Conseil suprême islamique irakien s'est éloigné du Premier ministre Nouri al-Maliki pour annoncer la création d'une coalition électorale chiite, l'Alliance nationale irakienne[1], qui remplace l'Alliance irakienne unifiée et qu'il présiderait. Celle-ci inclurait le mouvement de Moqtada al-Sadr, le Parti al-Fadhila (ou « Parti islamique de la vertu »), l'ancien allié des Américains Ahmed Chalabi et l'ancien Premier ministre Ibrahim al-Jaafari [2].
Le deux mois après les élections légisiatives du , l'Alliance nationale irakienne et la coalition de l'État de Droit d'Al Maliki se mettent d'accord de faire alliance et de former une seule et même coalition au parlement irakien[3].
Avant les élections de , l'Alliance a perdu quelques groupes adhérents, principalement le Congrès national irakien, ce qui ne l'a pas empêché d'obtenir 41,2 % des scrutins, donc 128 des 275 sièges.