Le sujet de Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser est une question qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces derniers temps. Avec les progrès de la technologie et les changements dans la société, Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser est devenu un aspect crucial qui affecte différents domaines de nos vies. Sur le plan personnel, professionnel, social et politique, l'importance de Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser est indéniable. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser, en analysant son impact et sa pertinence dans divers contextes. De son origine à son évolution, en passant par ses implications et conséquences possibles, ce sujet ne laisse personne indifférent. Par ailleurs, nous tenterons d’éclairer les solutions ou approches possibles qui peuvent être adoptées contre Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser, dans le but d’offrir une vision globale et complète de cette problématique si d’actualité aujourd’hui.
Décès |
---|
Condamnée pour | |
---|---|
Condamnation |
Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser (décédée le 12 décembre 2011) est une Saoudienne décapitée en 2011 pour sorcellerie[1],[2],[3]. La sorcellerie, au même titre qu'insulter l’islam ou que l’homosexualité, est punie de peine de mort en Arabie saoudite[4].
Amina bint Abdul Halim bin Salem Nasser est arrêtée en 2009 par la police politique. Accusée de tromper les gens en se faisant passer pour une guérisseuse, elle est reconnue coupable de pratique de la sorcellerie par un tribunal[5],[6]. Les crimes qu'elle aurait commis n'ont jamais été rendus publics, le tribunal se contentant de statuer qu'elle constituait une menace pour l'islam[7],[8]. Sa condamnation fut confirmée par les plus hautes autorités du pays[9]. L’exécution a lieu dans la province d’Al Jawf, dans le nord du pays, en 2011[10]. Amina est âgée de 60 ans. Elle est la seconde personne à être exécutée pour sorcellerie en Arabie saoudite en 2011[11].