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Antoine Wenger, né le à Rohrwiller (Bas-Rhin) et mort le [1] à Draguignan[2] (Var), est un ecclésiastique (Prêtre Assomptionniste), byzantiniste et historien français, éditorialiste à La Croix.
Il est le fils de Charles Wenger, ouvrier, et de son épouse, née Philomène Gambel.
Nommé rédacteur en chef de La Croix en 1957, il sera pendant douze ans un témoin et acteur de la politique française et internationale, de la vie ecclésiale hexagonale et mondiale. Par la grâce de Mgr Jean Villot et de Paul VI, le P. Wenger sera ainsi le seul journaliste admis aux séances du Concile (sa chronique de Vatican II sert aujourd’hui encore de référence[réf. nécessaire]), remplira une mission en Chine au nom du Pape, contribuera à la rencontre historique[réf. nécessaire] entre celui-ci et le patriarche Athénagoras… Entre Rome et La Croix, il sera l’homme de la confiance sans faille[1].
En 1969, laissant le journal au tandem Lucien Guissard/André Géraud, il part pour Strasbourg retrouver ses amours premières pour l’enseignement des Pères de l'Église, tout en conservant dans La Croix une chronique hebdomadaire. En 1973, il est nommé conseiller ecclésiastique de l’ambassade de France près le Saint-Siège[1].
Docteur d'État en théologie (Strasbourg), licencié ès lettres (Paris Sorbonne), Diplômé d´études supérieures d´histoire (EPHE).
Articles notamment dans la Revue des études byzantines sur l'histoire et la pensée de l'Orient chrétien, avec plusieurs publications de textes inédits.