Aujourd’hui, Apple Records est un sujet qui suscite un grand intérêt dans différents domaines. Tant dans la société actuelle que dans le domaine professionnel, Apple Records a acquis un rôle important en raison de son impact sur notre vie quotidienne. Depuis ses origines jusqu'à son évolution aujourd'hui, Apple Records a réussi à capter l'attention des personnes de tous âges et continue de susciter des débats et des discussions dans divers forums. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects liés à Apple Records, en analysant son importance, ses implications et ses éventuels développements futurs.
Filiale | Apple Corps |
---|---|
Fondation | 1968 |
Fondateur | The Beatles |
Genre | Pop, rock, rock progressif, musique expérimentale, musique indienne, musique classique, folk |
Pays d'origine |
![]() |
Siège | Londres |
Apple Records est un label discographique britannique, basé à Londres. Il est fondé en 1968 par les Beatles comme une division d'Apple Corps ; c'est d'ailleurs la seule de ses divisions devenue rentable.
Le , le nouveau label publie ses quatre premiers 45 tours commercialement disponibles. Vendus séparément ou dans un boîtier appelé Our First Four, ils incluaient les Beatles avec Hey Jude / Revolution (R 5722), Mary Hopkin avec Those Were the Days / Turn Turn Turn (APPLE2), Jackie Lomax avec Sour Milk Sea (en) / The Eagle Laughs At You (APPLE3) et The Black Dyke Mills Band avec Thingumybob / Yellow Submarine (APPLE4)[1], cette dernière face A écrite et produite par Paul McCartney[2]. Le disque avec le numéro de série APPLE1 était The Lady Is a Champ, une version humoristique de la chanson The Lady Is a Tramp, avec un nouveau texte écrit par Sammy Cahn et chanté par Frank Sinatra lui-même. Elle est enregistrée la même année pour le 21e anniversaire de naissance de Maureen Starkey, commandée par son époux Ringo Starr. Un seul disque ayant été pressé et les bandes détruite, c'est un des très rares 45 tours existant[3].
Le logo d'Apple Records est créé par le graphiste irlandais Gene Mahon, un des artisans de la pochette de l'album Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band[4]. L'idée d'utiliser une pomme verte Granny Smith sur l'étiquette du disque est inspirée du tableau Le Jeu de Mourre de René Magritte, acheté par Paul McCartney[5]. Après avoir été approché par Neil Aspinall, Mahon demande au photographe Paul Castell de photographier la pomme entière et celle-ci coupée pour y voir l'intérieur. L'idée étant d'avoir la pomme verte vierge sur une face du disque et celle avec la chaire blanche de l'autre pour y inscrire toute l'information. Mais la loi du copyright impose que chaque face doit être bien identifiée, on a retenu l'idée de base mais avec les écritures sur chaque face. Alan Aldridge (en) a la tâche de finaliser la mise en forme des étiquettes[4]. Des pommes rouges ont aussi été utilisés pour des éditions particulières ; l'édition américaine du disque Let It Be publié conjointement avec la United Artists, par exemple[6].
Zapple est un label éphémère destiné à recevoir les compositions avant-gardistes qui n'a publié que deux albums : Electronic Sound de George Harrison et Unfinished Music No.2: Life with the Lions de John Lennon et Yoko Ono.