L'importance de Ardres dans la société contemporaine est indéniable. Qu'il s'agisse d'un sujet d'actualité, d'une personnalité, d'un phénomène culturel ou d'un concept fondamental, Ardres joue un rôle crucial dans notre quotidien. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Ardres, de son impact au niveau personnel à son influence sur la sphère mondiale. Grâce à une analyse détaillée, nous cherchons à comprendre la pertinence et l'importance de Ardres aujourd'hui, ainsi que son évolution au fil du temps. De même, nous examinerons son rôle dans divers contextes et son interaction avec d'autres éléments de la société. À travers ce voyage, nous espérons mettre en lumière l’importance et la complexité de Ardres dans la société contemporaine.
La commune est située dans le nord du Pas-de-Calais, à une douzaine de kilomètres au sud-est de Calais. Elle est principalement desservie par la D 231, la D 943 et la D 224.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
le canal des Pierrettes, d'une longueur de 17,91 km, qui prend sa source dans la commune d'Ardres et se jette dans le canal de Calais au niveau de la commune de Calais ;
le canal de Marck, canal, chenal de 17,53 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le canal de Calais à Saint-Omer au niveau de la commune de Calais ;
La rivière de Nielles, d'une longueur de 7,8 km, prend sa source dans la commune de Louches et se jette dans le canal de Calais au niveau de la commune ;
le Vinfil, cours d'eau naturel non navigable de 6,38 km, qui prend sa source dans la commune de Vieille-Église et se jette dans le canal de Marck au niveau de la commune ;
le watergang de la Serpentine, cours d'eau naturel non navigable de 4,27 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Traquenard au niveau de la commune d'Offekerque ;
le watergang Meerstraten, cours d'eau naturel non navigable de 3,86 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le canal de Calais au niveau de la commune d'Offekerque ;
le watergang du Zandick, d'une longueur de 2,61 km qui prend sa source dans la commune de Nielles-lès-Ardres, se jette dans le canal des Pierrettes.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 8 km à vol d'oiseau, est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
La commune a signé en mars 2010 une charte d'entretien des espaces publics, avec l'Agence de l'eau Artois-Picardie.
les cavités d'Ardres, d’une superficie de 0,744 hectare. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France ;
le marais du pont sans pareil, d’une superficie de 10,034 hectares. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1 :
les watergangs des Attaques et d'Andres et le lac d'Ardres. Cette ZNIEFF est marqué par la présence d’un réseau dense de fossés, mares et watergangs ;
les prairies et bois de Lostebarne-Woohay. Cette ZNIEFF, située entre les collines du pays de Licques et la plaine maritime flamande, permet la présence d’un réseau hydrographique riche et diversifié.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles.
Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les prairies et marais tourbeux de Guînes, d'une superficie de 139 hectares.
Inventaire national du patrimoine géologique
Sur le territoire communal se trouve le site des sources artésiennes et « trous sans fond » dans la région d'Ardres qui est inscrit à l'inventaire national du patrimoine géologique.
Urbanisme
Typologie
Au , Ardres est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022.
Elle appartient à l'unité urbaine d'Ardres, une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre,,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne,. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (54,8 %), prairies (16,9 %), zones urbanisées (13,5 %), eaux continentales (8,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %), zones humides intérieures (2,3 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Lieux-dits, hameaux et écarts
En plus du chef-lieu Ardres, la commune compte plusieurs localités : Bois-en-Ardres, La Cauchoise, Le Palentin, Les Pélerins.
Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est a accessible par l'A16, dans le sens Paris - Calais, sortie Calais Saint-Pierre puis la RD 943 jusqu'à Ardres ou par l'A26, dans le sens Reims - Calais, sortie Ardres (no 2) puis RD 943 jusqu'à Ardres.
À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département.
Toponymie
Vient du flamandaard qui signifie « champ, pâture »:
Ardam (1070), Arda (1084), Arde (1119), Ardea (1227), Arda ou villa Ardua (XIIIe siècle), Ardre (1412), Ardea prope Calesiam (1472), Ardres (1793).
En néerlandais : Aarden, en flamand : Aarde(littéralement terre ou les terres).
Entrée d'Ardres, côté Brêmes.
Entrée de Bois-en-Ardres.
Entrée de La Cauchoise, côté Guemps.
Entrée des Pélerins.
Entrée de Pont-d'Ardres.
Histoire
À l'époque gallo-romaine, Ardres est une bourgade prospère grâce à son marché agricole.[réf. nécessaire]
Entre 1060 et 1070, Arnold, seigneur de la seigneurie de Selnessa-Ardres et vassal du comte de Guînes, élève une motte au milieu du marais sur laquelle il bâtit un donjon de bois. Il est le fils du premier seigneur de la dite seigneurie, Herred, familier du comte Eustache de Guînes, et d'Adèle, nièce de l'évêque des Morins (voir seigneurs d'Ardres).
Au XIIIe siècle, comme d'autres cités du comté, Ardres dispose d'une administration communale relativement autonome par rapport au comte de Guînes, (commune) : en 1254, Arnould III de Guînes déclare devoir à ses échevins de Guînes, Ardres, Audervic (Audruicq), et du pays de Bredenarde la somme de 20 700 livres parisis qu'ils avaient payé pour sa rançon.
Ardres est en 1273 une des douze pairies du comté de Guînes, d'autres sources parlant des seigneurs d'Ardres en tant que barons du comte de Guînes. Baudouin, sire de la Motte d'Ardres (seigneur d'Ardres; il s'agit de Baudouin IV de Guînes, dépossédé du comté de Guînes que son père Arnould III de Guînes avait vendu au roi de France) est un des treize barons du comté.
Le prieuré d'Ardres est également cité comme constituant une des onze ou douze pairies du comté de Guînes.
En 1334, Philippe roi des français (Philippe VI de Valois) approuve l'accord conclu au sujet du procès existant entre le comte de Flandre, (Louis Ier de Flandre) et les habitants d'Ardres à propos du tonlieu de Bapaume et en remet la décision à Philippe de Haverskerque et à maître Jean Chauwyas. Ces deux arbitres vont condamner en 1336 la communauté de la ville d'Ardres à payer, conformément aux usages, le droit de péage de Bapaume.
En 1396, le roi Charles VI amène à Ardres sa fille Isabelle de France, destinée à Richard II, avant de rencontrer ce souverain le 27 octobre dans la plaine entre Ardres et Guînes, sur la frontière entre les deux royaumes, et de procéder à la remise de la princesse le 31. Le mariage a été célébré le 3 novembre à Calais (église Saint-Nicolas).
Le , une troupe anglaise venue de Calais, cherche par une nuit noire à s'emparer d'Ardres, mais les soldats face à une population qui se défend ne peuvent qu'incendier le faubourg.
Le , Louis XIII, de passage à Calais, ordonne qu'on démolisse la citadelle d'Ardres gouvernée par Jean de Monchy, seigneur de Montcavrel. Celui-ci cherche à voir le roi à Calais, mais Louis XIII refuse de lui parler et part le lendemain pour Boulogne.
Pendant la Première Guerre mondiale, Ardres est en 1918 le siège d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Brêmes fait partie de ce commandement d'étapes et a donc accueilli des troupes. Ardres a également accueilli des troupes dépendant du commandement d'étapes de Guînes en 1917-1918; ainsi que du commandement d'étapes de Nouvelle-Église. En mars 1918, des troupes belges (35 officiers, 540 hommes de troupe, 11 chevaux) cantonnent sur Ardres. Le bureau du commandement d'étapes est installé à la mairie et relié au central téléphonique d'Ardres. Il agit en liaison avec le gouverneur militaire de Calais. En septembre 1917, des travailleurs sont en poste dans la sucrerie d'Ardres au titre de l'effort de guerre.
Le 23 décembre 1940, Adolf Hitler, arrivé la veille dans son train spécial à la gare d'Audruicq, traversa la commune en voiture pour aller inspecter les troupes et l'artillerie allemande sur la côte et passa Noël avec les troupes d'occupation.
Le 18 juin 2019, un arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturellesécheresse a été pris, pour onze communes du Pas-de-Calais, dont Ardres, afin que puisse avoir lieu l'indemnisation par les assurances des cas de maisons ou bâtiments fissurés à la suite du retrait-gonflement des argiles.
Les habitants de la commune sont appelés les Ardrésiens.
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 4 398 habitants, en évolution de +1,81 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 119 hommes pour 2 284 femmes, soit un taux de 51,87 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,7
5,6
75-89 ans
9,4
18,6
60-74 ans
20,1
22,2
45-59 ans
20,1
17,2
30-44 ans
17,7
16,1
15-29 ans
13,5
19,9
0-14 ans
17,3
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,6
5,6
75-89 ans
8,9
16,7
60-74 ans
18,1
20,2
45-59 ans
19,2
18,9
30-44 ans
18,1
18,2
15-29 ans
16,2
19,9
0-14 ans
17,9
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, il y a 1 806 ménages fiscaux qui comprennent 4 287 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation de 19 970 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros. La part des ménages fiscaux imposés est de 49 % (57,6 % en France métropolitaine),.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques
L'église Notre-Dame de Grâces et Saint-Omer fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le . La cloche est Monument Historique à titre d'objet. Les vitraux du XIXe siècle sont des verriers F. Hirsch, Lévèque et Roussel et un orgue de 1876 est du facteur d'orgue Frédéric Haerpfer.
L'ancienne chapelle des Carmes fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le .
Le Bastion Condette, aussi dénommé Bastion royal, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le .
Jeanne Ire (dauphine d'Auvergne) (1414-1436), dauphine d'Auvergne, comtesse de Clermont et comtesse de Sancerre, dame de Mercœur et de Combrailles, morte dans la commune.
Victor de Saint-Just (1862-1933), né et mort à Ardres, général de division, maire d'Ardres, député du Pas-de-Calais, commandeur de la Légion d'honneur.
D'argent à l'aigle bicéphale de sable, au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lys d'or.
Devise
Brave et fidèle
Détails
Inspiré des armes de la famille d'Ardres, dont la branche aînée s'est éteinte au XIIe siècle, et qui portait « d'argent à l'aigle bicéphale de sable armée et becquée de gueules ». Le 12 mai 1520, à l'approche du Camp du Drap d'Or, François Ier aurait autorisé la commune par lettre patente, en plus de la devise, à porter le chef de France moderne (d'azur à trois fleur de lys d'or) bien qu'à l'époque il aurait été fait état d'étoiles d'or. Adopté par la municipalité.
Ernest Ranson (1839-1920). Histoire d'Ardres depuis son origine jusqu'en 1891. Saint-Omer, Imprimerie du Mémorial artésien, vers 1892. in-4, 720 pages, 5 planches, dont 4 gravées. (Réédition en fac-simile : Ardres, Bibliothèque pour tous, 1988.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Ardres comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑
Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante :
1 UC pour le premier adulte du ménage,
0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus,
0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.
Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Lambert d'Ardres, Histoire des comtes de Guines, latin éditée dans la langue originelle par Johann Heller, Historia comitum Ghisnensium, Monumenta Germaniae Historica, Scriptores, t. XXIV (Hanovre, 1879), paragraphe 109.
↑Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904, Tome V, Année 1254.
↑ ab et cP. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 981, lire en ligne.
↑Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome 9. Années 1334 et 1336.
↑Pierre Jean Marie COLLET, Notice historique de l'état ancien et moderne du Calaisis, de l'Ardresis, et des pays de Bredenarde et de Langle, etc, (lire en ligne), p. 213.
↑ a et bEphémérides sur l’histoire de Calais et de ses environs par J. Goutier