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Nom officiel |
Aroue |
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Nom local |
(eu) Arüe |
Pays | |
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Arrondissement français | |
Province | |
Canton français (avant 2015) | |
Département français | |
Commune française | |
Coordonnées |
Gentilé |
Arüetar |
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Statut |
Commune française (jusqu'au ) |
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Remplacé par | |
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Dissolution |
Code postal |
64120 |
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INSEE |
64049 |
Aroue est une ancienne commune française du département des Pyrénées-Atlantiques. Le (par arrêté préfectoral du ), la commune absorbe Ithorots-Olhaïby pour former la nouvelle commune d'Aroue-Ithorots-Olhaïby.
Le village fait partie de la province basque de Soule.
Le toponyme Aroue apparaît sous les formes Aroe (1337[1]), Aroa (1385[2], collection Duchesne volume CXIV[3]), Aroe et Sent Stephen d'Aroe (respectivement[2] 1460 et 1469, contrats d'Ohix[4]), Degaierie de Aroa (1520[1]) et Aroue (1690[1]).
Son nom basque est Arüe
Olhassaria était un fief d’Aroue, vassal de la vicomté de Soule, mentionné sous les graphies Olhassari (XVIIe siècle[2], titres D'Arthez-Lassalle[5]) et Olhassarry (1863[2], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Paul Raymond[2] note qu'Aroue était un des sept vics de la Soule, et dependait de la messagerie de la Barhoue. La commune fut « temple de la Raison » pendant la Révolution, sans doute à cause du voisinage béarnais, Aroue fut la seule commune basque à adopter la politique jacobine antireligieuse.
L’église Saint-Étienne[7], romane remaniée au XIXe siècle présente parmi ses sculptures du XIIe siècle un saint Jacques à cheval, image espagnole du « matamoro ».