Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons plonger dans le monde fascinant de Atanasoff–Berry Computer, en explorant ses origines, son évolution et sa pertinence aujourd'hui. Atanasoff–Berry Computer est un sujet d'intérêt et de débat depuis des décennies, attirant l'attention des universitaires, des experts et des passionnés. Au fur et à mesure que nous approfondirons cette analyse, nous examinerons les différents aspects qui composent Atanasoff–Berry Computer, de ses aspects historiques à son impact sur la société moderne. A travers cette exploration, nous espérons mettre en lumière les différents aspects qui font de Atanasoff–Berry Computer un sujet fascinant et pertinent dans le monde contemporain.
Le Atanasoff–Berry Computer (ABC) a été l'un des premiers calculateurs électronique numérique automatique[1]. Limité par la technologie de son époque, cet appareil est resté relativement peu connu. L'importance historique de l'ABC est sujette à débat parmi les historiens de la technologie informatique, car il n'était ni programmable ni Turing-complet[2]. De nos jours, l'ABC serait considéré comme la première unité arithmétique et logique (ALU) numérique et électronique - un composant de chaque processeur moderne. La principale contribution historique de l'ABC a été d'accélérer considérablement les calculs arithmétiques par l'emploi novateur des tubes électroniques. Avant cela, des méthodes électromécaniques plus lentes étaient utilisées par l'ordinateur Z1 de Konrad Zuse et du Harvard Mark I développé conjointement. Par la suite, le calculateur Colossus apportera une possibilité de programmabilité restreinte, puis l'ENIAC une programmation Turing-complète.
Sa conception par John Vincent Atanasoff et Clifford Berry datant de 1937, il fut reconnu après un procès comme le premier calculateur numérique électronique[3] (titre auparavant attribué à l'ENIAC).
Il a été testé avec succès en 1942[4].
Cette machine a été la première à implanter trois concepts fondamentaux :