Auguste Le Guennant
Aujourd'hui, nous voulons parler de Auguste Le Guennant, un sujet présent dans la vie de nombreuses personnes. Auguste Le Guennant est un sujet vaste et pertinent dans la société actuelle, couvrant des aspects allant du personnel au global. De nombreuses personnes ont été touchées par Auguste Le Guennant d’une manière ou d’une autre, et son influence s’étend à différents domaines de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons les aspects les plus pertinents de Auguste Le Guennant, en analysant son impact, son importance et ses implications pour notre société. Grâce à cette analyse, nous espérons fournir un aperçu plus clair et plus approfondi de Auguste Le Guennant et offrir des informations précieuses qui contribuent à la compréhension et à la réflexion sur ce sujet.
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Nom de naissance |
Auguste Joseph Marie François Le Guennant |
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activités |
| Mouvement | |
|---|---|
| Instrument |
Auguste Le Guennant, né à Auray (Morbihan) le et mort à Paris le [1], est un organiste et compositeur français.
Biographie
Ancien élève de la Schola Cantorum, où il eut comme professeurs Alexandre Guilmant pour l'orgue et Vincent d'Indy pour la composition, il tint pendant quelque temps le grand orgue de Notre-Dame de Clignancourt, et quitta Paris en 1905, pour devenir maître de chapelle à Notre-Dame de Bon-Port, aux Sables-d'Olonne, puis, en 1908, à la basilique Saint-Nicolas de Nantes. Il a fondé dans cette ville, en collaboration avec m. A. Mahot, le groupe mixte « A Cappella ».
L'Édition mutuelle de la Schola Cantorum a publié son Adagietto pour grand orgue, et un O Salutaris à quatre voix mixtes, et M. Biton a édité de lui un ouvrage d'accompagnement du chant grégorien.
En 1925, il arriva à l'Institut grégorien de Paris en tant que directeur et enseignant, en succédant au professeur du chant grégorien, dom Joseph Gajard de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes[2].
Après la Seconde Guerre mondiale, il organisa de nombreuses sessions grégoriennes, non seulement dans l'Hexagone mais également à Fátima, et même à Rio de Janeiro. Étant encore enseignant auprès de l'Institut grégorien de Paris, ce pédagogie et musicien dynamisa considérablement l'enseignement du chant grégorien, en créant quelques centres d'études dans plusieurs pays[1]. Il eut une grande influence sur le compositeur lyonnais Marcel Joseph Godard qui fut son élève.
En 1953, il fut récompensé en tant que docteur honoris causa de l'Institut pontifical de musique sacrée à Rome[1].
Bibliographie
- Notice biographique dans Maîtres contemporains de l'orgue, abbé Joseph Joubert, 1912.
- BnF Data
Notes et références
- Institut catholique de Paris, Le Livre Du Centenaire, , 404 p. (lire en ligne), p. 302.
- ↑ Marie-Emanuel Pierre, Cantabo Domine, cours de chant grégorien, p. 230, abbaye Saint-Michel de Kergonan, 2005
Liens externes
- Ressource relative à la musique :
- IMSLP Partitions
