De nos jours, Avant que de tout perdre est au centre de l'attention de nombreuses personnes. Sa pertinence s'est considérablement accrue sous différents aspects, générant des débats, des recherches et des opinions multiples sur le sujet. Ce sujet présente un grand intérêt pour la société en général, car il a un impact sur la vie quotidienne des gens. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Avant que de tout perdre, son évolution dans le temps et son influence dans divers domaines. De même, nous analyserons comment Avant que de tout perdre a gagné en importance aujourd'hui et quelles sont les implications de sa pertinence dans différents domaines.
Réalisation | Xavier Legrand |
---|---|
Scénario | Xavier Legrand |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
KG Productions Canal+ Centre National du Cinéma |
Pays de production |
![]() |
Genre |
Court métrage Drame |
Durée | 29 minutes |
Sortie | 2013 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Avant que de tout perdre est un court métrage français écrit et réalisé par Xavier Legrand, sorti en 2013.
Il remporte le Grand prix du Festival de Clermont-Ferrand 2013. Il est également sélectionné aux Oscars du cinéma 2014 dans la catégorie meilleur court métrage en prises de vues réelles[1] et a obtenu le César du meilleur court métrage en 2014.
Le long métrage Jusqu'à la garde, du même réalisateur, en est une suite, avec les mêmes personnages et certains interprètes en commun, dont Léa Drucker et Denis Ménochet.
Ce court-métrage a été tourné en intégralité dans le Pays de Montbéliard (Bart, Dung, Bavans, Montbéliard).
Un jeune garçon fait mine de se rendre à l'école et se cache sous un pont. Une adolescente en larmes attend prostrée sur le banc d’un arrêt de bus. Une femme vient les chercher tour à tour et les conduit sur le parking d'un hypermarché. Les enfants sortent du véhicule, la femme ouvre le coffre pour en extraire un gros sac poubelle. Ils entrent alors tous les trois précipitamment dans le magasin.
Le film est un succès au Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand où il remporte le Grand prix, le Prix du public, le Prix de la presse et le Prix de la jeunesse.
En revanche, les Cahiers du cinéma, dans leur compte-rendu du festival, sont extrêmement négatifs à son égard[2]. Ils qualifient le film d'« arnaque », trouvent son suspense « mécanique » et le jugent creux comme un « téléfilm en pilote automatique[2]. »