Dans le monde d'aujourd'hui, Bénéfice est un sujet récurrent qui suscite un grand intérêt et un grand débat. Depuis ses origines jusqu'à son impact sur la société actuelle, Bénéfice a fait l'objet d'études et d'analyses de la part d'universitaires, d'experts et de fans. Qu'il s'agisse de l'influence de Bénéfice sur la culture populaire, de sa pertinence dans l'histoire moderne ou de son lien avec les enjeux contemporains, cet article cherche à explorer différents aspects de Bénéfice et à mettre en lumière son importance dans le contexte actuel. Grâce à une analyse détaillée et à un aperçu critique, nous visons à offrir une perspective complète sur Bénéfice et sa pertinence dans le monde d'aujourd'hui.
Le bénéfice ou le profit résulte de la constatation (économique et/ou monétaire) pour une période donnée :
L'inverse (écart négatif) est appelé déficit, solde négatif, résultat négatif ou perte.
Les administrations fiscales cherchent à déterminer si le prix vendu par la filiale dans un autre pays est proche d'une transaction entre tiers car c'est pour les entreprises internationales (dites aussi multinationales) un instrument important permettant de réaliser des transferts indirects de bénéfices vers des pays à moindre taxation. C'est particulièrement difficile lorsque la marque constitue une part majeure du prix et que l'évaluation dépend aussi de la fonction exercée par l'entreprise et du risque qu'elle assume dans ce pays. La difficulté qui borde au politique assure des emplois très bien rémunérés à haut statut social aux spécialistes.
La distinction entre le bénéfice et la valeur ajoutée réalisés par une entreprise est souvent mal comprise. Le bénéfice est en fait une partie de la valeur ajoutée. La VA doit être redistribuée dans trois domaines :
Le reste, la valeur ajoutée non redistribuée, constitue le bénéfice, indispensable aux futurs investissements.
Dans un arrêt de 1914 Caisse rurale de Manigod[1], la Cour de cassation a retenu que la notion de bénéfice devait s'entendre d'un gain pécuniaire ou matériel ajoutant à la fortune des associés et qu'elle devait être distinguée de la notion des économies qui ne sont que des pertes évitées ou des dépenses amoindries[2].
À la lumière de cette définition, les sociétés d'assurance mutuelle, mues par le souci de réaliser des économies en s'assurant à meilleur marché n'étaient plus des sociétés mais des associations[2].