Bataille de la Tchernaïa

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Bataille de la Tchernaïa
Description de cette image, également commentée ci-après
La bataille de la Tchernaïa par Gerolamo Induno (1857), aux Gallerie di Piazza Scala à Milan.
Informations générales
Date
Lieu Traktir, sur la Tchernaïa,
actuelle Ukraine
Issue Victoire franco-sarde
Belligérants
Drapeau de l'Empire français Empire français
Royaume de Sardaigne
Drapeau de l'Empire russe Empire russe
Commandants
Drapeau de la France Aimable Pélissier Drapeau de l'Empire russe Mikhaïl Gortchakov
Forces en présence
36 000 hommes 58 000 hommes
Pertes
1700 Français, 200 Sardes 8800 Russes

Guerre de Crimée

Batailles

Chronologie de la guerre de Crimée

Coordonnées 44° 28′ 00″ nord, 33° 51′ 00″ est
Géolocalisation sur la carte : Crimée
(Voir situation sur carte : Crimée)
Bataille de la Tchernaïa
Géolocalisation sur la carte : Ukraine
(Voir situation sur carte : Ukraine)
Bataille de la Tchernaïa

La bataille de la rivière Tchernaïa, bataille de la Tchernaïa (en russe : Сражение у Чёрной речки, Сражение у реки Чёрной) ou bataille du pont Traktir est un affrontement qui a lieu sur les rives de la rivière Tchernaïa (« noire » en russe) pendant la guerre de Crimée le entre la Russie et une coalition de troupes françaises et sardes.

Déroulement

La bataille commence par une offensive des Russes qui veulent mettre fin au siège de Sébastopol. Deux corps d'armée russes sous les ordres du prince Mikhaïl Gortchakov (58 000 soldats) affrontent les troupes franco-sardes du général Pélissier (36 000 hommes). Bien que les témoins de la bataille soient surpris par le courage des soldats russes et la vigueur de leur attaque, l'assaut de l'armée russe est très mal organisé. Gortchakov a en effet envoyé une note à ses généraux avec ces mots « Commençons », signifiant qu'ils devaient commencer à déployer leurs forces, alors que les généraux l'ont interprété comme un ordre de passer à l'attaque et ont agi en conséquence, se heurtant à une résistance de la part des Français et des Sardes du général Alfonso La Marmora.

La bravoure des soldats sardes et français des 50e, 82e, 95e, 97e régiments de ligne ; du 19e chasseurs à pied ; et des 2e et 3e régiments de zouaves est tout particulièrement remarquée. La bataille se termine par une victoire alliée.

Les pertes sont trois fois plus élevées du côté russe que du côté adverse, qui perdent cependant le général sarde Montevecchio (Rodolfo Gabrielli di Montevecchio (it)). Quant aux sujets du tsar, ils perdent trois généraux.

La gestion peu efficace de la bataille a été sujet de railleries de la part de ses acteurs. Cette situation a ensuite inspiré à Léon Tolstoï une chanson satirique, qui demeure sa seule composition en vers connue

À Turin, la Via Cernaia perpétue le souvenir de cette bataille et à Paris la rue de Traktir.

Bibliographie

Sources contemporaines

Sources modernes

Notes et références