Bataille des Iffs
Dans cet article, le sujet Bataille des Iffs sera exploré sous différents angles, en analysant ses implications sociales, culturelles, politiques et économiques. L'impact que Bataille des Iffs a eu sur la société actuelle et la façon dont il a façonné notre façon de penser et d'agir seront examinés. De même, les aspects historiques et contemporains liés à Bataille des Iffs seront abordés, afin de mieux comprendre son importance et sa pertinence dans le monde d'aujourd'hui. À travers cette analyse exhaustive, nous souhaitons offrir une vision panoramique de Bataille des Iffs et de ses multiples facettes, invitant à la réflexion et au débat sur ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
| Date | |
|---|---|
| Lieu | Les Iffs |
| Issue | Victoire des républicains |
 République française |
 Chouans |
| « Victoria » du Rocher du Quengo † |
| Inconnues | Inconnues |
| Inconnues | 125 morts[1] (selon les républicains) |
Batailles
- La Chène
- 1re Argentré
- Pont de Cantache
- Paintourteau
- Les Iffs
- Louvigné-du-Désert
- La Poterie
- 1er Rocher de La Piochais
- Saint-Jean-sur-Vilaine
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- La Bataillère
- 1er La Croix-Avranchin
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- Blanche-Lande
- 1er Fleurigné
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- 2e Saint-James
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- 2e Rocher de La Piochais
- 2e La Croix-Avranchin
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- 1er La Pellerine
- 2d Saint M'Hervé
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- La Valette
- Saint-Hilaire-des-Landes
- 2e La Pellerine
- Valennes
- Toucheneau
- 1er Saint-Aubin-du-Cormier
| Coordonnées | 48° 17′ 19″ nord, 1° 51′ 56″ ouest | |
|---|---|---|
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La bataille des Iffs se déroula le lors de la Chouannerie.
Déroulement
En juillet 1795, à la suite de l'attaque d'un convoi de farine sorti de Bécherel, une troupe républicaine se porte à la rencontre des chouans[1],[2]. La rencontre se produit aux Iffs, à cinq kilomètres à l'est de Bécherel[2]. Les chouans sont menés par Mademoiselle du Rocher du Quengo, dite « Victoria » ou « capitaine Victor », qui est tuée lors du combat[2]. Selon le rapport au Comité de salut public du procureur-général-syndic du District de Saint-Brieuc[Note 1], 25 chouans sont tués dans un premier combat et une centaine d'autres périssent ensuite dans une embuscade[1].
Notes et références
Notes
- ↑
« Deux affaires ont eu lieu dans le district de Dinan. Un convoi, sorti de Becherel avec escorte, avait été enlevé; la troupe a joint les Chouans; vingt-cinq ont été tués; le reste est tombé dans une embuscade, et cent y ont péri. Une femme nommée Victor ou Victoria était à leur tête : quelques papiers trouvés sur elle prouvent qu'elle était incroyablement féroce[1]. »
— Rapport au Comité de salut public du procureur-général-syndic du District de Saint-Brieuc, le .
Références
- Savary, t. V, 1827, p. 248-249.
- Dupuy 1997, p. 201.
Bibliographie
- Roger Dupuy, Les Chouans, Paris, Hachette Littérature, coll. « La Vie Quotidienne », , 287 p.
- Jean Julien Michel Savary, Guerres des Vendéens et des Chouans contre la République, t. V, Paris, Baudoin Frères, Libraires-éditeurs, , 508 p. (lire en ligne).
