Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Bernard Blanc, en analysant son impact sur la société actuelle et sa pertinence dans divers aspects de la vie quotidienne. Depuis ses origines jusqu'à son influence aujourd'hui, Bernard Blanc a joué un rôle crucial dans le façonnement du monde dans lequel nous habitons. Grâce à une approche multidisciplinaire, nous examinerons ses implications dans différents domaines, de la politique et de l'économie à la culture et à la technologie. De même, nous approfondirons des aspects moins connus de Bernard Blanc, révélant de nouvelles perspectives qui nous permettront de mieux comprendre son importance dans le contexte actuel. A travers ce voyage, nous souhaitons offrir au lecteur une vision large et enrichissante de Bernard Blanc, l'invitant à réfléchir sur son rôle dans le monde contemporain.
Adjoint au maire Bordeaux | |
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Directeur de thèse |
Philippe Lorino (d) |
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Bernard Blanc, né Bernard Louis Blanc le à Vesoul (Haute-Saône), est un ancien dirigeant d'entreprise publique de l'aménagement et de l'habitat qui a développé et mis en œuvre une méthode de co-conception de la ville, chaînant l'ensemble des acteurs, dans le cadre d'une démarche de responsabilité sociétale.
Titulaire d'un doctorat en Sciences de Gestion[1] et d'un Master 2 d'Urbanisme[2] Bernard Blanc a œuvré pendant vingt-sept ans dans le secteur de l'aménagement et de l'habitat[3].
Il est engagé depuis les années 2000 dans les approches de Responsabilité Sociétale des Entreprises appliquée à ce secteur, sujet d'ouvrages théoriques et méthodologiques.
Le , Bernard Blanc a reçu la médaille de l'urbanisme décernée par l'Académie d'architecture de Paris[4]. Il est reçu membre associé de cette académie[5] le .
Il est également intervenant invité dans des écoles d'architecture telles que celles de Nantes, Lyon, à l'Essec, Paris, sur le "Master spécialisé management urbain et immobilier".
Tant dans ses travaux théoriques que dans sa pratique, Bernard Blanc s'attache à développer un urbanisme du paysage replaçant les habitants et le vivant au cœur de tout projet[6], selon les principes de l'écologie urbaine, afin d'engager les transitions à opérer dans les territoires et les organisations.
En tant qu'adjoint à l'urbanisme résilient de la ville de Bordeaux, il est à l'initiative du référentiel "Bâtiment Frugal Bordelais", avec le concours du bureau d'étude TRIBU[7],[8].
Il défend une approche collaborative de l'habitat et de l'aménagement urbain.
Deux exemples représentatifs de cette démarche : le GHI et Locus Solus au Grand-Parc à Bordeaux.
Au fil du temps, ce grand quartier d'habitat social des années 1950 avait perdu ses espaces verts et beaucoup de sa qualité d'origine et plutôt que démolir le choix a été fait par le maître d'ouvrage, à la suite de la consultation des habitants, de réhabiliter en faisant appel aux architectes Lacaton & Vassal, associés à Frédéric Druot et à Christophe Hutin, qui ont développé une méthode d'extension par les façades en les équipant de vastes jardins d'hiver. (Tour bois-le-Prêtre à Paris, Plein-Ciel à Saint-Nazaire). "Quand Bernard Blanc a quitté Saint-Nazaire, nous avions déjà établi des relations de confiance et une expérience commune . Nous nous accordons sur la conviction que la démolition est une erreur et qu'à l'inverse la transformation est toujours préférable (Anne Lacaton&Jean-Philippe Vassal)[9].
Situé sur la frange ouest du Grand-Parc, le Locus Solus est, selon les architectes mêmes, un projet de maîtrise d’ouvrage. À partir d'un parking aérien existant, les architectes Éo toutes architectures ont développé, au-dessus, un immeuble sur parvis portant une ferme urbaine. Les appartements, tous traversants, dotés de jardins d’hiver, ont été conçus avec les habitants[10].