Boudin (ferroviaire)

Dans cet article, nous explorerons l'impact et la pertinence de Boudin (ferroviaire) dans la société contemporaine. Boudin (ferroviaire) est un sujet qui a suscité l'intérêt d'experts, d'universitaires et de professionnels dans divers domaines, en raison de son influence sur différents aspects de la vie quotidienne. Dans les prochaines lignes, nous analyserons les implications de Boudin (ferroviaire) dans les sphères sociale, économique, culturelle et politique, en examinant comment ce phénomène a façonné nos perceptions, nos comportements et nos relations interpersonnelles. De même, nous approfondirons les différentes perspectives et débats qui ont émergé autour de Boudin (ferroviaire), dans le but de mettre en lumière ses multiples facettes et réalités.

Bande de roulement et boudin.

Sur une roue ferroviaire, on distingue la bande de roulement (ou "table" de roulement) qui est en contact avec la surface du haut du rail (le champignon) et le boudin qui assure le guidage en prenant appui sur les faces latérales du champignon.

  • la bande de roulement est une surface conique (conicité de la roue) et non cylindrique
  • le boudin doit avoir une hauteur limitée pour éviter les appuis intempestifs sur le bord extrême de la roue : sur un profil normalisé il a par exemple 30 mm de hauteur sur 32 mm de largeur.

Le boudin est la partie intérieure d’une roue, qui assure le guidage sur la voie ferrée. Le boudin n'assure le guidage que dans les courbes et le passage dans les appareils de voie (aiguillages). En circulation en ligne droite, c'est la conicité des bandes de roulement des roues qui assure le guidage du véhicule dans la voie.

La géométrie de la bande de roulement et du boudin est définie dans la norme européenne EN 13715.

Cette partie se nomme aussi joue lorsqu'elle se situe sur un galet de pont roulant. Dans ce cas, on la retrouve généralement de part et d'autre du galet.

Notes et références