Dans le monde d'aujourd'hui, Ceteris paribus est devenu un sujet d'un grand intérêt et d'une grande pertinence. C’est un sujet qui a retenu l’attention de nombreuses personnes et qui a suscité des débats dans différents domaines. Dans cet article, nous explorerons en profondeur Ceteris paribus et ses implications dans la société actuelle. Nous analyserons les aspects historiques, sociaux, culturels et scientifiques liés à Ceteris paribus, dans le but de proposer une vision complète et multiforme sur ce sujet. De plus, nous examinerons les implications et les défis possibles que Ceteris paribus présente dans le monde d'aujourd'hui, ainsi que les opportunités et les solutions qui peuvent découler de son étude. À travers cet article, il vise à contribuer à l’enrichissement des connaissances et de la compréhension de Ceteris paribus, et à fournir une perspective informative et réflexive qui invite à la réflexion et au dialogue sur ce sujet.
Ceteris paribus (forme complète : ceteris paribus sic stantibus) est une locution latine se traduisant par : « toutes choses étant égales par ailleurs ». Elle est utilisée, par exemple, en méthodologie, en philosophie analytique, en philosophie du langage, en sciences sociales ou encore en sciences économiques, quand dans un modèle théorique l'influence de la variation d'une quantité (la variable explicative) sur une autre (la variable expliquée) est examinée à l'exclusion de tout autre facteur.
Par exemple : « Une hausse du prix de la viande réduira la quantité demandée de ce bien ceteris paribus. »
L’usage de cette locution répond à trois situations différentes :
L'étude d'une réforme économique ceteris paribus permet de déterminer l'influence précise de la réforme et de s'abstraire des autres changements de politique économique qui auraient pu être mis en place simultanément.
Par exemple : l’évaluation du passage de la durée du travail à 35 heures en France peut être faite ceteris paribus, c’est-à-dire en excluant l’impact des allègements de charge mis en place simultanément.
En précisant qu’une analyse est faite ceteris paribus, on reconnaît que d'autres variables pourront être modifiées par les changements étudiés (dans le premier exemple, le prix des autres biens) et qu’elles pourront agir sur les variables d’intérêt, mais on considère ces effets comme négligeables ou trop compliqués à estimer, et on les exclut du modèle : toutes les variables autres que celles étudiées sont considérées comme inchangées[1].
On exclut alors les évolutions « naturelles » du milieu économique, c’est-à-dire les changements qui peuvent se produire simultanément et de manière indépendante. Dans le premier exemple, on exclut ainsi les changements de revenus des consommateurs ou de leurs préférences (augmentation du végétarisme, etc.).