Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Château de Bellegarde (Chassignieu), en abordant différents aspects et perspectives liés à ce sujet. De son origine et de son histoire à ses implications dans la société actuelle, nous approfondirons une analyse détaillée qui nous permet de comprendre l'importance et la pertinence de Château de Bellegarde (Chassignieu) dans notre contexte. A travers diverses enquêtes et témoignages, nous donnerons la parole à des experts et personnes liées à Château de Bellegarde (Chassignieu), dans le but de proposer une vision complète et enrichissante sur ce sujet. De même, nous réfléchirons à son impact dans différents domaines et explorerons de futurs scénarios possibles liés à Château de Bellegarde (Chassignieu).
Destination initiale |
Maison forte seigneuriale |
---|---|
Destination actuelle |
Résidence |
Construction |
XIVe siècle - XVIe siècle |
Propriétaire |
Propriété privée |
Patrimonialité |
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
Le château de Bellegarde est une maison forte située à Chassignieu dans le département français de l'Isère, en France. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1996.
Le château de Bellegarde, édifié en 1382 par la famille Bellegarde-Poussieu (originaire du Viennois) durant le Moyen Âge tardif, est une ancienne maison forte. L'édifice a été réaménagé durant les XIVe, XVe et XVIe siècles.
A la fin du XVe siècle, l'édifice passe dans la famille de Poisieu (qui édifia le château du Passage[1]) par héritage, puis en 1656, le château est vendu à Antoine de Perrotin, seigneur de la Bretonnière à Moras, dans l'actuel département de la Drôme. Le château est à cette date en mauvais état qui entraine une période de reconstruction importante. La famille Prunier de Saint-André rachète Bellegarde en 1720, pour la rattacher ce domaine à sa seigneurie de Virieu.
Cet édifice fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 24 juin 1996[2],[3].
La partie principale de l'ensemble se présente comme un bâtiment de plan rectangulaire situé sur une colline dominant la vallée de la Bourbre entre Virieu-sur-Bourbre et La Tour-du-Pin. Celui-ci est entouré par une grange-remise en pisé et deux bâtiments plus récents.
A l'intérieur, les salles présentent des plafonds à la française et des cheminées en pierre de taille[4]. Il s'agit d'une propriété privée qui ne se visite pas.