Nous abordons aujourd'hui un sujet qui suscite un intérêt croissant ces dernières semaines : Classification de Candolle. Cette personne/sujet/date a retenu l'attention du public et généré un débat intense dans la société. C'est pourquoi, dans cet article, nous visons à mettre en lumière les aspects fondamentaux liés à Classification de Candolle, en proposant une analyse détaillée de ses implications et conséquences. Dans cette optique, nous explorerons les différents angles sous lesquels Classification de Candolle peut être abordé, dans le but de fournir une vision complète et objective de la question. Il s’agit sans aucun doute d’un sujet très actuel qui mérite d’être abordé avec profondeur et rigueur, et c’est précisément ce que nous entendons réaliser dans les lignes suivantes.
La classification suivant le système de Candolle est chronologiquement l'une des premières classifications botaniques.
Elle est publiée par Augustin Pyrame de Candolle (1778-1841) d'abord dans la deuxième édition (1819) de sa Théorie élémentaire de la botanique, ou exposition des principes de la classification naturelle et de l’art de décrire et d’étudier les végétaux. Candolle la met en pratique dans son vaste ouvrage qui paraît de 1824 à 1873, Prodromus Systematis Naturalis Regni Vegetabilis (le texte complet est disponible sur le site de Gallica).
La classification divise les plantes vasculaires en plusieurs groupes :
Liste des familles du Prodromus, arrangée selon la classification de Candolle.
Ne pas oublier que sa classification est antérieure à la nomenclature botanique d'aujourd'hui, ainsi :
Pour les dicotylédones (« classis prima DICOTYLEDONEÆ »), la classification accepte :
Le Prodromus comprend aussi les :