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Président de l'université Paris-VIII | |
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Président de l'université Paris-VIII | |
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Claude Adolphe Désiré Frioux |
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Claude Frioux, né le à Paris et mort le à Nemours[1],[2], est un professeur des universités français, spécialiste de la littérature et de la civilisation russes.
Ancien normalien, Claude Frioux obtient l'agrégation de russe en 1956. Il enseigne au lycée Kléber de Strasbourg (1957-1958), puis au lycée Jacques Decour à Paris (1958-1959). Il est ensuite maître-assistant à la faculté de lettres de Rennes, puis chargé de cours à l'École pratique des hautes études (EPHE) et à la Sorbonne, avant de devenir professeur à l'université de Paris-VIII-Vincennes-Saint-Denis, qu'il a présidée de 1971 à 1976, puis de 1981 à 1987[3],[4].
Il a souvent piloté des projets de traduction, en particulier avec Elsa Triolet sur Anton Tchekhov, et son épouse Irène Sokologorsky. Traducteur, il a travaillé sur une trentaine d'ouvrages. Il est surtout connu comme traducteur de référence du poète Maïakovski auquel il avait consacré sa thèse de doctorat d'État[3].
Analysant l'« histoire mouvementée » de l'université Paris-VIII-Vincennes, Le Monde considère que l'université a alors « peut-être eu contre elle le "tort" d'être présidée, à plusieurs reprises, par des professeurs "marqués" politiquement, tels M. Claude Frioux (communiste) et M. Pierre Merlin (socialiste) »[5].
Claude Frioux est le père de Dalibor Frioux, agrégé de philosophie et écrivain, né en 1970[6].