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Claude Rameau, surnommé le « peintre de la Loire », est un peintre et dessinateur français, né le à Bourbon-Lancy (Saône-et-Loire)[1] et mort le à Saint-Satur (Cher).
Claude Rameau voit le jour le à Bourbon-Lancy en Saône-et-Loire, fils d’un chaudronnier et d’une lingère.
Dès l’enfance, il manifeste un vif intérêt pour le dessin et, jeune homme, abandonne son poste de fonctionnaire à la mairie pour se consacrer à la peinture[2].
On le retrouve quelque temps plus tard à Paris, où il s’inscrit à l’Académie Julian, une école privée de peinture et de sculpture. Il y fréquente l'atelier des peintres William Bouguereau et Gabriel Ferrier[2].
En 1898, il fait la connaissance du peintre Louis Charlot. Les deux hommes partagent un logement à Paris, cour du Dragon, et louent un atelier rue des Artistes[2].
De 1911 à 1929, il est le conservateur du musée de Saint-Nazaire à Bourbon-Lancy, sa ville natale[3].
Dans les années 1920, il s’installe dans une maison de marinier de Saint-Thibault-sur-Loire, un faubourg de Saint-Satur, dans le département du Cher[4]. Il habite avec sa femme, Ursule Goyard, rue Serveau-Quillier[5].
En 1922, il devient sociétaire de la Société nationale des beaux-arts et participe à son salon annuel. Les catalogues de ces salons indiquent qu'il a alors pour adresse le 50, rue de Rennes à Paris[6].
Entre 1933 et 1936, il a pour élève le peintre paysagiste nivernais Rex Barrat[7].
En 1937, il participe à la décoration du pavillon Berry-Nivernais de l’Exposition internationale des arts et techniques appliqués à la vie moderne en fournissant plusieurs tableaux des bords de la Loire[8].
Il meurt le à Saint-Satur.
Une rue porte son nom à Nevers, à Bourbon-Lancy, ainsi qu’une ruelle à Saint-Thibault-sur-Loire.