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Les « codes OTAN » sont des systèmes de désignation employés par l'Organisation du traité de l'Atlantique nord pour nommer et répertorier les matériels militaires originaires des pays de l'ancien pacte de Varsovie.
Ils s'appliquent aussi bien aux avions de combat, qu'aux navires de guerre, en passant par les radars. Ils sont largement inspirés du code américain utilisé pour désigner des avions japonais pendant la Seconde Guerre mondiale. Très en vogue pendant la Guerre froide, ils restent encore employés au XXIe siècle même si grâce à l'afflux d'informations sur le matériel militaire oriental, à la suite de l'écroulement de l'URSS, il est beaucoup plus facile de connaître la désignation orientale de ceux-ci.
La chape du secret qui recouvrait l'Union soviétique et les pays satellites ne permettait pas de connaitre les projets et développements des armements de ces pays. Souvent, les nouveaux matériels étaient « découverts » par les Occidentaux lors des revues militaires telles que le défilé sur la Place Rouge de Moscou chaque 9 mai (Grande Guerre patriotique pendant la Seconde Guerre mondiale). Ainsi, pour permettre une identification commune et sûre à tous les pays de l'OTAN, les matériels ont été répertoriés sous la forme d'une nomenclature, par un code et un nom.
Reprenant le code McCoy utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale pour désigner les avions japonais (par exemple Mitsubishi A6M Zeke), les matériels (missiles, avions, etc.) reçoivent un nom ; la première lettre de ce nom désigne le type de matériel[1] :
Ce nom peut être suivi d'une lettre qui s'incrémente selon l'ordre alphabétique et qui désigne les versions du matériel telles qu'elles sont connues par l'OTAN. Par exemple, le MiG-21F-13 s'est vu attribuer le code OTAN « Fishbed-C », qui y voyait la troisième version du MiG-21.
De plus, les avions équipés d'hélices ont un nom composé d'une syllabe (ex : Il-18 Coot) et les appareils à réaction, deux syllabes (ex : MiG-23 Flogger). Il n'y a pas de règle similaire pour les hélicoptères.