Dans le monde d’aujourd’hui, Code de couleurs des composants est un sujet devenu particulièrement pertinent. De plus en plus de personnes souhaitent en savoir plus sur Code de couleurs des composants, que ce soit en raison de son impact sur la société, de son importance dans la vie quotidienne ou de sa pertinence dans le domaine professionnel. Code de couleurs des composants a suscité un grand intérêt tant au niveau local que mondial, devenant un sujet de discussion constant dans différents domaines. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l’impact de Code de couleurs des composants et son influence sur différents aspects de la vie moderne, offrant une vision complète et détaillée de ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
La norme internationale CEI 60062 définit un code de couleurs pour le marquage de la valeur des résistances, des condensateurs et d'autres composants[1]. Les composants montés en surface identifient les valeurs par des inscriptions alphanumériques. La norme CEI 60757, intitulée Code de désignation de couleurs (1983), définit les lettres à utiliser pour indiquer ces couleurs (plus deux autres) sans recourir à une illustration. Elle précise que la norme ne spécifie pas une colorimétrie des couleurs, mais qu'elles doivent être distinguées sans ambiguïté[2]. La norme CEI 60063 définit un nombre restreint de valeurs valides pour chaque précision, ce qui réduit les possibilités d'erreur.
Le code des couleurs est généralement difficile ou impossible à déchiffrer sous un éclairage inadéquat, comme aussi pour des daltoniens.
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1er anneau gauche |
2e anneau gauche |
3e anneau gauche* |
Dernier anneau gauche |
Anneau droite |
Anneau suppl. |
Abrév. | |
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Couleur | 1er chiffre | 2e chiffre | 3e chiffre | Multiplicateur | Tolérance | Coeff. temp. | Alpha. | |
noir | 0 | 0 | 0 | 100=1 | 200 ppm | BK | ||
marron | 1 | 1 | 1 | 101 | ± 1 % | 100 ppm | BN | |
rouge | 2 | 2 | 2 | 102 | ± 2 % | 50 ppm | RD | |
orange | 3 | 3 | 3 | 103 | 25 ppm | OG | ||
jaune | 4 | 4 | 4 | 104 | 15 ppm | YE | ||
vert | 5 | 5 | 5 | 105 | ± 0,5 % | GN | ||
bleu | 6 | 6 | 6 | 106 | ± 0,25 % | BU | ||
violet | 7 | 7 | 7 | 107 | ± 0,10 % | VT | ||
gris | 8 | 8 | 8 | 108 | ± 0,05 % | GY | ||
blanc | 9 | 9 | 9 | 109 | WH | |||
or | 0,1 | ± 5 % | GD | |||||
argent | 0,01 | ± 10 % | SR | |||||
(absent) | ± 20 % |
* Le troisième anneau n'est utilisé que lorsque la tolérance de la résistance est inférieure ou égale à 2 %.
La valeur des résistances peut être indiquée sur le composant sous forme de trois à six anneaux de couleurs.
Les valeurs sont normalement prises, pour chaque tolérance, dans une liste de valeurs normalisées. De ce fait, comme seules certaines séquences sont valides, le codage des couleurs comporte une redondance qui limite les erreurs de lecture.
Le marquage est habituel sur les résistances cylindrique de petite taille, mais les résistances de puissance, notamment celles munies d'un radiateur et les composants montés en surface ont un marquage en chiffres.
La norme ne définit pas rigoureusement les couleurs, renvoyant pour cela à la norme ISO 3864-3 (2012) Symboles graphiques — Couleurs de sécurité et signaux de sécurité — Partie 3 : Principes de conception pour les symboles graphiques utilisés dans les signaux de sécurité, qui à son tour renvoie à ISO 3864-4 (2011) Partie 4 : Propriétés colorimétriques et photométriques des matériaux de signaux de sécurité[3]. Cette norme définit une aire dans le diagramme de chromaticité CIE xy et des limites de luminance relative.
Du 2 (rouge) au 7 (violet) les couleurs sont dans l'ordre de celles de l'arc-en-ciel et du cercle chromatique.
Sans apposition institutionnelle ou normé, il existe des phrases mnémotechniques pour se souvenir du code de ces couleurs, pour la correspondance on ne tient compte que de la première lettre de chaque mot :