Le sujet de Comic Book Legal Defense Fund présente un grand intérêt pour un large éventail d’individus et de professionnels, car il a des implications et des répercussions importantes dans divers domaines. De son impact sur la santé, à son influence sur l’économie, en passant par ses conséquences sur l’environnement, Comic Book Legal Defense Fund est un sujet qui mérite une attention particulière et qui peut apporter de précieuses perspectives pour mieux comprendre le monde qui nous entoure. Dans cet article, nous allons approfondir les nombreuses facettes de Comic Book Legal Defense Fund et explorer ses dimensions en profondeur, dans le but de fournir une vision globale et complète de ce sujet très pertinent.
Le Comic Book Legal Defense Fund ou CBLDF est une association sans but lucratif qui s'est donnée pour mission d'aider les personnes travaillant dans le monde des comics et subissant des poursuites judiciaires en raison de ce lien avec les comics. Ce peut être ainsi des auteurs ou des vendeurs accusés de proposer des produits pornographiques.
Le Comic Book Legal Defense Fund est fondé en 1987 par Denis Kitchen alors qu'un vendeur de comics est poursuivi pour vente de matériel pornographique. Le vendeur est reconnu innocent en 1989 mais cette affaire montre aux auteurs, éditeurs, vendeurs qu'un soutien financier est nécessaire pour faire face aux frais d'avocats[1]. Les accusations portées contre les personnes défendues par le CBLDF sont le plus souvent en lien avec la supposée pornographie de certains comics, de la corruption de la jeunesse ou de taxes dont elles devraient s'acquitter alors que d'autres auteurs n'y sont pas sujets[2].
En 2020, l'association est dans la tempête. Son directeur exécutif, Charles Brownstein, démissionne alors qu'il est accusé d'agression sexuelle contre une autrice de comics en 2005[3].