Dans cet article, nous explorerons l'importance de Commission départementale de coopération intercommunale dans différents contextes et sa pertinence dans la société actuelle. Commission départementale de coopération intercommunale a été un objet d'étude et d'intérêt tout au long de l'histoire, et son influence s'étend à divers domaines, de l'économie à la politique, en passant par la science et la culture. Au cours des prochaines lignes, nous analyserons comment Commission départementale de coopération intercommunale a façonné notre façon de penser et d’agir, et comment il continue d’impacter notre vie quotidienne. De ses origines à son évolution contemporaine, Commission départementale de coopération intercommunale continuera d'être un sujet d'intérêt pertinent pour tous ceux qui souhaitent mieux comprendre le monde qui nous entoure.
Une commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) est un organisme administratif français qui peut proposer un projet de recomposition de carte intercommunale.
Elle est définie aux articles L.5211-42 à L. 5211-45 du Code général des collectivités territoriales[1].
Elle a été créé par l'article 67 de loi du 6 février 1992[2] et remaniée notamment par la Loi relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale du [3].
Sa composition a été modifiée par la loi du de réforme des collectivités territoriales pour renforcer le poids des intercommunalités.
La commission est présidée par le préfet.
Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) est élaboré par le préfet qui le présente à la CDCI.
Cet organisme doit être consulté en cas de création d'un établissement public de coopération intercommunale de son propre fait.