Dans le monde d'aujourd'hui, Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon est devenu un thème récurrent qui a retenu l'attention de la société dans son ensemble. Que ce soit à la suite d'avancées technologiques, de changements culturels ou d'événements historiques, Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon a acquis une pertinence sans précédent. De son impact sur l'économie à son influence sur la politique et la vie quotidienne des gens, il ne fait aucun doute que Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon a suscité débat et réflexion dans tous les domaines. Dans cet article, nous explorerons en profondeur les différents aspects et conséquences de Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon, ainsi que les différentes positions qui existent à son sujet.
Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon | |
Création | 2 janvier 1847 |
---|---|
Disparition | 18 novembre 1852 |
Dates-clés | 11 octobre 1847 (faillite) 27 mars 1852 (nouvelle société) |
Fondateur(s) | Paulin Talabot |
Successeur | Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée |
Forme juridique | Société anonyme |
Siège social | Lyon![]() |
modifier ![]() |
La Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon est créée en 1847 pour l’exécution et l’exploitation de la concession du chemin de fer du même nom. En 1852, à la suite de l'absorption de quatre autres compagnies de chemin de fer du sud-est de la France, elle change de dénomination pour prendre celle de Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée.
La Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon est une société anonyme formée le et autorisée par une ordonnance du roi Louis-Philippe datée du [1].
La compagnie, établie à Lyon, est dotée d'un capital de 150 millions de francs divisé en 300 000 actions de 500 francs chacune[2]. Elle a pour objet l’exécution et l’exploitation du chemin de fer de Lyon à Avignon, avec embranchement sur Grenoble, concession adjugée à M. Paulin Talabot le . Celui-ci en devient le directeur et le premier conseil d’administration est composé de 35 membres[3].
Lors du krach de 1847, plusieurs sociétés de chemins de fer se retrouvent en difficulté. Cinq d'entre elles seront placées sous séquestre en 1848, ce qui permet d'éviter la liquidation judiciaire, trois autres ayant été effectivement liquidées: la Compagnie des chemins de fer de Fampoux à Hazebrouck le , la Compagnie des chemins de fer de Bordeaux à Cette en et la Compagnie du chemin de fer de Lyon à Avignon le , dix mois après sa création, dont l'assemblée des actionnaires prend cette décision sans avoir ouvert le moindre chantier.
Une nouvelle société, dotée d'un capital de 35 millions de francs divisé en 70 000 actions de 500 francs chacune, est autorisée le . Le , cette dernière absorbe quatre autres compagnies de chemin de fer puis, le , change de dénomination pour prendre celle de Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée[4].