Conseil international des chrétiens et des juifs est un sujet qui a retenu l'attention des gens du monde entier. Depuis son émergence, elle a suscité un grand intérêt et des débats dans différents domaines, que ce soit dans le domaine politique, culturel, scientifique ou sociétal en général. Ce sujet a fait l’objet de recherches et d’analyses par des experts et des universitaires, dans le but de comprendre son impact et ses implications. De plus, il a suscité l’intérêt du grand public, générant des conversations et des réflexions sur différentes plateformes et espaces de discussion. Dans cet article, nous explorerons Conseil international des chrétiens et des juifs en détail, en analysant ses aspects les plus pertinents et en offrant une perspective large et variée sur ce sujet.
But | Dialogue interreligieux |
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Zone d’influence | Monde |
Fondation | 26 février 1948 |
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Origine | Conférence de Seelisberg |
Siège | Heppenheim, Allemagne |
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Président | Bo Sandahl, Suédois |
Vice-président | Pavol Bargar, Tchèque |
Vice-présidente | Liliane Apotheker, Francaise |
Site web | iccj.org |
Le Conseil international des chrétiens et des juifs (International Council of Christians and Jews (ICCJ) en anglais) est une fédération mondiale de 38 associations de 32 pays différents engagées dans le dialogue entre les chrétiens et les Juifs judaïques[1].
I'ICCJ fut fondé en 1947 en réaction à la Shoah dans la petite ville de Seelisberg[2] où eut lieu la Conférence de Seelisberg. Un grand nombre de théologiens, d'historiens et d'enseignants dédièrent leurs efforts à la recherche d'une réconciliation entre juifs et chrétiens.
L'Amitié judéo-chrétienne de France, fondée le [3] en fait partie[4].
Selon les statuts de l'ICCJ, la fédération[5] :
En 1947, l'ICCJ a publié un document après la Conférence de Seelisberg, donnant des recommandations en dix points[6].
Le quartier général international de l'ICCJ est situé à Heppenheim, Allemagne, dans la maison où le philosophe juif Martin Buber vécut jusqu'à ce que la persécution nationale-socialiste ne l'oblige à fuir l'Allemagne.
En 1993 l'ICCJ a publié Jews and Christians in Search of a Common Religious Basis for Contributing Towards a Better World (« Juifs et chrétiens en quête d'une base religieuse commune pour contribuer à un monde meilleur »). Ce document « contient à la fois des perspectives juives et des perspectives chrétiennes distinctes concernant la communication et la coopération mutuelles ainsi qu'un point de vue commun des fondements religieux pour que les juifs et les chrétiens travaillent ensemble pour un monde meilleur... »[7]
L'ICCJ maintient un site internet, Jewish-Christian Relations, « qui se consacre à encourager le respect mutuel et la compréhension entre chrétiens et juifs dans le monde »[8].
Plus récemment, l'ICCJ et ses membres se sont engagés de plus en plus dans le dialogue entre religions abrahamiques : la rencontre entre juifs, chrétiens et musulmans.