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Comtesse de Toulouse | |
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Princesse |
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Eustache IV de Boulogne (à partir de ) Raymond V de Toulouse (à partir de ) |
Enfants |
Constance de France, née vers 1128 et morte à Reims un après 1177, est une princesse française du XIIe siècle, comtesse de Toulouse de 1154 à 1176.
Fille unique du roi de France Louis VI et de son épouse Adélaïde de Savoie, qui n'eurent d'autre part que des fils, elle est mariée en par son frère, le roi Louis VII, à Eustache, fils aîné et héritier d'Étienne de Blois, roi d'Angleterre.
Après le décès d'Eustache, en , elle se remarie le à Raymond V († 1194), comte de Toulouse. De cette union naissent quatre enfants :
En 1165, Constance participe au colloque ou concile de Lombers[1], près d'Albi, dont le but était de confondre et de condamner les hérétiques ; c'est à cette date qu'on appela ces derniers les Albigeois.
Ils se séparent en 1166. Dans une lettre qu'elle écrivit à son frère Louis VII de France après sa répudiation, elle dit : « J'ai quitté ma demeure et me suis rendue dans un village en la maison d'un certain chevalier car je n'avais ni de quoi manger ni de quoi donner à mes serviteurs. Le comte n'a aucun soin de moi et ne fournit rien de ses domaines pour mes besoins. »
Revenue en région parisienne, son frère lui aurait attribué des biens immobiliers dont on ignore l'ampleur. En tout cas, à partir de 1171 et sous le nom de comtesse de Saint-Gilles, elle fit plusieurs donations de biens immobiliers à l'abbaye de Montmartre et aux Templiers.
Selon l'abbé Delaunay, elle aurait été dame de Montreuil-sous-Bois[2] et selon d'autres auteurs, à l'initiative de la construction de la tour féodale de La Queue-en-Brie (actuel Val-de-Marne)[réf. nécessaire]
D'après la légende, Constance se serait réfugiée à Burlats après sa séparation d'avec Raymond V de Toulouse, sa fille Adélaïde aurait été élevée à Burlats[3]. Celle-ci tint à Burlats une « Cour d'Amour » et fut célébrée, entre autres par le troubadour périgourdin Arnaud de Marueuil[4].
Historiquement, il est délicat de penser que Constance ait pu se réfugier à Burlats après sa séparation d'avec Raymond V de Toulouse, car en 1165 la place n'appartenait pas aux comtes de Toulouse, mais aux Trencavel. Ce n'est donc pas Constance qui fit bâtir le pavillon d'Adélaïde à Burlats, mais sans doute Bernard Aton IV et son épouse Cécile, vers le début du XIIe siècle.