Dans le monde d'aujourd'hui, Coopération est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour de nombreuses personnes. C'est devenu un sujet de discussion et de débat dans différents domaines, que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou académique. L'impact de Coopération a été ressenti de manière significative dans la société, générant des opinions contradictoires et déclenchant des recherches et des études visant à approfondir ses implications. Depuis sa création, Coopération a attiré l'attention de millions de personnes à travers le monde, suscitant un véritable intérêt et motivant les professionnels et les experts à aborder ses différentes facettes et dimensions. Dans ce contexte, il est important d’explorer pleinement le rôle de Coopération aujourd’hui et son influence sur la vie quotidienne, ainsi que de réfléchir à sa projection dans le futur.
Le terme de « coopération », dérivé du latin « co-operare » (signifiant œuvrer, travailler ensemble), recouvre différentes significations.
Selon la signification la plus large et la plus courante, la coopération décrit un état d'esprit et un mode de comportement où les individus conduisent leurs relations et leurs échanges d'une manière non conflictuelle ou non concurrentielle, en cherchant les modalités appropriées pour analyser ensemble et de façon partagée les situations et collaborer dans le même esprit pour parvenir à des fins communes ou acceptables par tous. Selon l'anthropologue américaine Margaret Mead, il s’agit du fait d’œuvrer ensemble dans un but commun[1].
De nombreux auteurs se fondent sur l'étymologie pour distinguer la collaboration (travailler ensemble), de la coopération (oeuvrer ensemble), dans la lignée des travaux d'Hannah Arendt sur le travail, l'oeuvre et l'action. D'ailleurs, le sociologue Richard Sennett déclare avoir "voulu étudier la coopération comme un art"[2]. L'économiste Eloi Laurent quant à lui, écrit que "la coopération est aujourd'hui dévorée par la collaboration" et souligne que "on collabore pour faire, on coopère pour savoir. Parce que coopérer, c'est apprendre à connaître ensemble, la coopération transforme les humains en pédagogues les uns pour les autres."[3] La définition proposée en 2018 par Anne et Patrick Beauvillard "coopérer c'est être co-auteur d'une oeuvre commune"[4] est désormais largement utilisée.
Dans le cadre d'un dilemme du prisonnier répété, un agent adoptant un comportement de coopération-réciprocité-pardon, confronté à une diversité d'autres comportements, peut obtenir les gains les plus élevés, et ce d'autant plus que les interactions entre les protagonistes sont nombreuses. Robert Axelrod montre également que la coopération est contagieuse, et peut devenir le modèle dominant même dans un environnement initialement non-coopératif[5].
Le terme coopération désigne :
De ce fait, on peut ainsi rencontrer :