Dans le monde de Corps (typographie), il existe une infinité d’aspects intéressants et pertinents qui méritent d’être explorés. Depuis ses origines jusqu'à ses dernières innovations, Corps (typographie) a suscité la curiosité et l'intérêt de beaucoup, devenant un sujet de conversation incontournable dans différents domaines. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de sa pertinence historique ou de son influence sur la culture populaire, Corps (typographie) continue d'être un sujet de débat et de réflexion constant. Dans cet article, nous approfondirons les différents aspects de Corps (typographie) et analyserons son importance dans le contexte actuel.
En typographie, le corps est la taille d'une fonte de caractères, mesurée en points typographiques : un texte en corps 10 est un texte composé dans une police dont le corps est de dix points.
En typographie traditionnelle, le corps est la hauteur de la pièce métallique sur laquelle apparaît en relief la forme du glyphe représentant le caractère imprimé. C’est donc l’addition de la hauteur d’x, des ascendantes, des descendantes (autrement dit la hauteur maximale occupée par le dessin de tous les caractères, y compris avec signes diacritiques), à laquelle s’ajoutent les talus de tête et de pied. En informatique, le caractère métallique n’existe plus mais le dessin de la lettre inclut encore toujours talus de tête et de pied.
Quelles que soient la fonte et la lettre représentée, à un corps donné, la distance entre les lignes de base de deux lignes successives composées sans interligne (p. ex. 10/10) sera toujours identique. Par contre, la hauteur d’œil, c'est-à-dire la hauteur du glyphe lui-même, est une fraction plus ou moins importante du corps et varie selon la police et le caractère, de même que la hauteur d’x qui indique la hauteur des bas de casse sans ascendantes ni descendantes.
Le corps d'une fonte est également l'unité de mesure absolue couramment utilisée avec les moyens de composition et d'édition de texte informatiques modernes. Les unités de mesure relative s'expriment en relation avec le corps : un espacement vertical de 0,5 em ou 50 % est un espacement de cinq points si le texte est en corps 10, de six points s'il est en corps 12. De même, un titre de 1,3 em ou 130 % sera en corps 13 si le texte courant est en corps 10.
Historiquement, les fontes étaient classées par tailles avec des dénominations conventionnelles, mais pas de mesures fixées : ainsi deux fontes différentes portant la même appellation n’avaient-elles pas nécessairement la même hauteur de corps. C’est au XVIIIe siècle qu’on commence à percevoir la nécessité d’une uniformisation des unités, d’où la création du point typographique qui connaît diverses variantes jusqu’à l’adoption du point Didot en Europe et de son homologue anglo-saxon, le point Pica.
Attention : selon les ouvrages, les noms peuvent différer ou ne pas représenter la même valeur.
Cette série d'appellations ne doit pas faire oublier qu'il en existe également d'autres à propos des descriptions d'empattement, des styles de fonte, des noms des polices de caractères.