DGC Records
Aujourd'hui, nous allons parler de DGC Records, un sujet qui a retenu l'attention des gens du monde entier. DGC Records est un concept qui a fait l'objet de débats et de discussions dans différents domaines, de la politique à la culture populaire. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de DGC Records et son impact sur la société actuelle. De son origine à ses implications quotidiennes, nous plongerons dans une analyse détaillée de DGC Records pour mieux comprendre son importance et sa pertinence dans le monde moderne. Sans aucun doute, DGC Records est un sujet qui ne laisse personne indifférent, et son influence ne cesse de croître au fil du temps. Rejoignez-nous dans ce voyage fascinant pour en savoir plus sur DGC Records !
Pour les articles homonymes, voir DGC.
Cet article est une ébauche concernant un label de musique.
| Fondation | 1990 |
|---|---|
| Fondateur | David Geffen |
| Statut | Inactif |
| Maison de disques | Universal Music Group |
| Distributeur | Interscope Records (États-Unis), Polydor (Royaume-Uni) |
| Genre | Variés (principalement rock) |
| Pays d'origine |
 États-Unis |
| Siège | Santa Monica, Californie |
| Site web | www.dgcrecords.com |
DGC Records (David Geffen Company) est un label discographique américain de rock, basé à Santa Monica, Californie. Il est fondé en 1990 par David Geffen.
Histoire
David Geffen lance DGC Records en 1990, après avoir vendu son label Geffen Records à MCA. À son lancement DGC est une filiale de MCA, dirigée par le président de Geffen Ed Rosenblatt. Le label est fondé dans le but de développer de nouveaux artistes[1].
DGC devient un label important du rock alternatif américain en signant des groupes comme Sonic Youth ou Nirvana, dont l'album Nevermind (DGC/Sub Pop) se classe numéro 1 des ventes aux États-Unis en 1992[2] . Leur catalogue s'étoffe avec les signatures de Weezer, Hole, le groupe de Courtney Love, les Counting Crows, ou encore Beck[3]. Le contrat de ce dernier lui permet de réaliser les albums dont DGC juge le potentiel commercial faible sur d'autres labels. Parmi les albums de Beck édités par DGC figurent notamment Mellow Gold et Odelay, sorti en 1996 et nommé pour plusieurs Grammy Awards[4].
Notes et références
- ↑ (en) (en) « Geffen Starts A New Label », The New York Times, .
- ↑ (en) William Ruhlmann, Breaking records : 100 years of hits, Routledge, , 233 p. (ISBN 978-0-415-94305-5, lire en ligne), p. 202
- ↑ (en) Eric Grubbs, Post : A Look at the Influence of Post-Hardcore-1985-2007, iUniverse, , 365 p. (ISBN 978-0-595-51835-7, lire en ligne), p. 118.
- ↑ (en) Vladimir Bogdanov, All music guide to electronica : the definitive guide to electronic music, Backbeat Books, , 4e éd., 688 p. (ISBN 978-0-87930-628-1, lire en ligne), p. 46
Liens externes
- Ressources relatives à la musique :
