De masticatione mortuorum in tumulis

Cet article abordera le sujet de De masticatione mortuorum in tumulis, qui a retenu l'attention de diverses disciplines et domaines d'étude. De masticatione mortuorum in tumulis a suscité l'intérêt des chercheurs, des universitaires, des professionnels et du grand public en raison de sa pertinence et de son impact aujourd'hui. Tout au long de cet article, différents aspects liés à De masticatione mortuorum in tumulis seront explorés, de son histoire et de son évolution à ses implications dans le contexte actuel. Différentes perspectives et approches seront analysées pour fournir une vision complète et enrichissante de De masticatione mortuorum in tumulis, dans le but de générer une meilleure compréhension et de promouvoir un débat éclairé sur ce sujet.

Le De masticatione mortuorum in tumulis (La Mastication des morts dans leurs tombeaux) est un ouvrage écrit par le philosophe Michael Ranft en 1725 puis 1728. L'auteur enquête sur un cas de vampirisme supposé, celui de Peter Plogojowitz, à Kisolova, en Hongrie, et parle des morts qui dévorent dans leurs tombeaux le linge et de tout ce qui est à portée de leur bouche, jusqu'à leur chair, d'où la tradition d'employer des moyens de prévention pour les y empêcher : enterrer le mort à l'envers, déposer une grille ou une grande plaque sur le cadavre, placer un objet sous son menton (motte de terre, brique, pierre, pièce d'argent), attacher un foulard autour de sa tête[1].

La dissertation de Ranft constitue l'un des premiers traités de vampirologie.

Notes et références

  1. Augustin Calmet, Dissertation sur les vampires, Editions Jérôme Millon, , p. 182-183

Annexes

Bibliographie

Articles connexes