Dans l'article que nous présentons aujourd'hui, nous allons plonger dans le monde fascinant de Dojo kun. Tout au long de l’histoire, Dojo kun a fait l’objet d’études, de débats et d’admiration, captant l’attention des artistes, des scientifiques, des philosophes et des curieux. Au fil des pages qui suivent, nous explorerons les différentes facettes de Dojo kun, de son impact sur la société à sa pertinence dans le domaine scientifique. De plus, nous analyserons son influence sur la culture populaire et comment elle a façonné nos perceptions et nos croyances au fil du temps. Préparez-vous à vous plonger dans un voyage révélateur à travers l'histoire et le présent de Dojo kun.
Dōjō kun est un terme des arts martiaux japonais signifiant littéralement « règles du dojo ». Ces règles sont généralement affichées à l'entrée de la salle d'entrainement ou sur la façade du dojo (shomen) et souligne les comportements à respecter ou à éviter. Dans certains styles d'art martial, ils sont récités à la fin de chaque cours.
Généralement crédité à Gichin Funakoshi (certains l'attribuant plutôt à Kanga Sakukawa, un amateur d'Okinawa du XVIIIe siècle), le dōjō kun se présente sous la forme de cinq principes, récités à la fin de chaque cours de karaté shotokan, ayant pour but de donner un contexte éthique à la pratique.
Les cinq règles en japonais sont :
Il existe de nombreuses traduction du dōjō kun, on peut les traduire par :
Le dōjō kun apparait également dans d'autres styles d'arts martiaux, avec des modifications apportées selon les écoles.
Par exemple, en gōjū-ryū, le dōjō kun comprend huit règles :
Le dōjō kun vient des « 20 principes du karaté », écrits par Gichin Funakoshi, ou niju kun, repris par la JKA (Japan Karaté Association)[1]. Il est utilisé comme une forme condensée des 20 préceptes de Funakoshi.