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Naissance |
Rueil-Malmaison |
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Nationalité | Français |
Activité principale | ingénieur du son, producteur de musique |
Site officiel | its-a-teenagerdream.com |
Dominique Blanc-Francard, né le à Rueil-Malmaison, est un ingénieur du son et producteur de musique français. Il est le frère de Patrice Blanc-Francard et le père d'Hubert Blanc-Francard (du groupe Cassius) et de Mathieu Blanc-Francard (Sinclair).
Fils de Jean-Marie Blanc-Francard, ingénieur de la Radiodiffusion-télévision française, et d'Hélène Franco[1], il est, dans sa jeunesse, le guitariste rythmique puis le bassiste du groupe Les Pingouins, de Marly-le-Roi (Yvelines)[2], dont la carrière est brève (1962-1963) avec quatre EP 45 t enregistrés.
Entre 1970 et 1973, il est ingénieur du son aux studios du château d'Hérouville de Michel Magne[2],[3] où il fait débuter Andy Scott. Il y enregistre son album solo Ailleurs, en 1972 :
Il collabore notamment avec Brigitte Fontaine et Areski Belkacem dont il mixe les albums Les églantines sont peut-être formidables (1980) et Rue Saint Louis en l'île (2004).
Après diverses expériences à Aquarium et Continental Studios, l’un des premiers studios numériques, Dominique Blanc-Francard connaît un très grand succès, en 1992, en réalisant Engelberg de Stephan Eicher, vendu à un million d’exemplaires[5].
En 1992, il remporte la Victoire de la musique, catégorie Ingénieur du son de l'année pour Seul dans ton coin de David McNeil et Amours secrètes... Passion publique de Julien Clerc[6].
Depuis 1995, avec Bénédicte Schmitt, ingénieure du son et réalisatrice, il tient le studio Labomatic à Paris.
Le , Dominique Blanc-Francard sort l'album It's a Teenager Dream pour lequel il a convié 15 interprètes (Françoise Hardy, Jean-Louis Aubert, Stephan Eicher, Benjamin Biolay, Carla Bruni, Salvatore Adamo, Hubert Mounier...) à enregistrer les chansons qui lui ont donné envie de consacrer sa vie à la musique[7].