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Dominique Maraninchi, né le à Marseille, est un médecin cancérologue français, directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé de à .
Il est marié et a quatre enfants.
Il étudie la médecine à Marseille de 1967 à 1973. En 1972, il est reçu aux concours de l'internat à Marseille et à Paris, il choisit Paris. Il effectue son service national comme volontaire de la coopération en Tunisie (1973-75). Après un stage à l'Institut Gustave-Roussy dans le laboratoire de Maurice Tubiana, il soutient sa thèse en 1979 à l'Université Paris VII (distinguée par un Prix de la Ville de Paris). Il complète sa formation par un stage post-doctoral au Fred Hutchinson cancer research center de Seattle aux États-Unis[1].
Il rejoint Marseille en 1981 et exerce tout d'abord à la faculté de Médecine comme assistant hospitalo-universitaire. Il intègre l'Institut Paoli-Calmettes, centre régional de lutte contre le cancer, comme praticien hospitalier en 1985. Il effectue ensuite la totalité de sa carrière hospitalo-universitaire dans cet établissement (notamment comme fondateur de l'unité de greffe de moelle osseuse) et à la faculté de médecine de Marseille (professeur d'hématologie puis de cancérologie)[2].
En 1990, il devient directeur de l'Institut Paoli-Calmettes et administrateur de la Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer ; il devient vice-président de cette fédération en 1994, puis président en 2003[3].
En 1995, il est nommé au Conseil national du cancer[4].
En 2004, il est nommé Président du conseil scientifique de l'Institut national du cancer.
En 2005, il succède au Professeur David Khayat comme Président du conseil d'administration de cette agence[5],[6]. Il y met en œuvre le Plan Cancer[7] et assainit la gestion de l'INCa qui avait été critiquée par un audit gouvernemental et un rapport d'enquête parlementaire[8].
En 2011, à la suite de la mise en cause de l'inertie de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) dans l'affaire du Médiator, il remplace Jean Marimbert comme directeur général[9]. Cela en fait également un membre de droit du Conseil national de la consommation.
En , lorsque l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé succède à l'AFSSAPS, il en devient le premier Directeur général[10]. Il met en place les Recommandations Temporaires d’Utilisation (RTU) : "Les RTU ont une durée maximale de 3 ans renouvelable. Leur objectif est de sécuriser l’utilisation des médicaments grâce à la mise en place d’un suivi des patients organisé par les laboratoires concernés"[11].
Le , le Dr Dominique Martin devient Directeur général de l'ANSM à la suite de Dominique Maraninchi[10].
Dominique Maraninchi s'est intéressé à divers aspects du traitement des affections cancéreuses[1], notamment :
1999 : Chevalier des Palmes académiques.
2017 : Officier des Palmes académiques
2004 : Chevalier de la Légion d'honneur[12].
2011 : Officier de la Légion d'honneur[13].