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En 1997, il est invité par la Comédie-Française à mettre en scène du Tartuffe de Molière dans le cadre de la Collection Molière initiée par l'administrateur du français, Jean-Pierre Miquel[3]. Il est contraint pour raison de santé, d'abandonner la mise en scène de la pièce, dix jours avant la première représentation[4]. Les comédiens eux-mêmes achèvent la mise en scène de la production, sous le monitorat principal de Jean Dautremay[5].
En , il prend la direction du Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine. En 2013, il ne souhaite pas se porter candidat à sa propre succession à la tête de l'établissement, indiquant dans la presse locale un « désaccord profond et récurrent » avec la direction générale des affaires culturelles de la ville de Bordeaux[9].
En 2016, il postule à la direction de la nouvelle Comédie de Genève, mais est écarté de la sélection finale à l'issue du premier tour de concours pour le poste[13].
En 2017, il se porte candidat[14] à la direction du Théâtre de la cité TNT à Toulouse, sans succès, les tutelles publiques lui préférant Galin Stoev[15]. La même année, il réinstalle les bureaux de sa compagnie de théâtre à Dijon, et déclare : « Nous nous réimplantons et c’est un vrai travail de proximité et de présence, que de rentrer au pays. Il y avait une place pour compléter un dispositif et pour être force de proposition, et pas opérateur : je n’ai prétention à ne rien diriger d’autre que ma compagnie »[16]
En , il est nommé à la tête de l'Opéra de Dijon, lors d'un conseil municipal houleux[17]. En effet, sa nomination par le maire François Rebsamen[18] est entérinée sans prises de parole, et sans concours ni processus de recrutement, malgré un vent de fronde d'artistes. Il prend ses fonctions à la tête de la maison d'art lyrique le , pour un mandat de 3 ans.
Son frère Christophe Pitoiset conçoit généralement les lumières de ses spectacles.
↑Philippe Poirrier, Municipalité et culture au XXe siècle : des beaux-arts à la politique culturelle : l'intervention de la municipalité de Dijon dans les domaines artistiques et culturels (1919-1995), Dijon, Université de Bourgogne : Thèse d'Histoire, , 1016 p..