L'article suivant abordera la question de Eau de surface, devenue pertinente ces dernières années. Depuis son émergence, Eau de surface a suscité un grand intérêt parmi les experts et le grand public, suscitant des débats et des réflexions sur son importance et son impact dans différents domaines. Eau de surface est devenu un sujet d'étude et de discussion dans divers domaines, que ce soit dans les domaines de la science, de la technologie, de l'histoire, de la politique, de la culture, entre autres. Tout au long de cet article, différents aspects liés à Eau de surface seront analysés, afin de fournir une vision complète et large de sa signification et de ses implications.
Les eaux de surface, également appelées eaux superficielles, sont constituées, par opposition aux eaux souterraines, de l’ensemble des masses d’eau courantes ou stagnantes, douces, saumâtres ou salées qui sont en contact direct avec l’atmosphère.
Par conséquent, l'eau de surface est l'eau qui se trouve à la surface ou proche de la surface du sol. Il s'agit pour l'essentiel des cours d'eau, des océans, des mers, des lacs et des eaux de ruissellement.
Sa température varie en fonction du climat et de ses saisons. Ses matières en suspension sont variables selon la pluviométrie et la nature et relief des terres à son voisinage. Sa composition en sels minéraux est variable en fonction du terrain, de la pluviométrie et des rejets ; elle retient peu les nitrates. Une eau de surface est ordinairement riche en oxygène et pauvre en dioxyde de carbone.
Tôt ou tard, éventuellement après avoir contribué à la vie physiologique de la flore ou de la faune, l'eau de surface s'évapore ou rejoint le cours lent des eaux souterraines.
Les zones humides comportent de manière relativement constante une quantité d'eau de surface, celle-ci contribuant pour sa part à l'intérêt de la zone pour la biodiversité, sous forme d'eau libre, d'humidité du sol ou d'eau imbibant la base des formations végétales qui s'y reproduisent.