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Champion panaméricain contre-la-montre par équipes 1988, 1991 Tour de Cuba 1984, 1986, 1987, 1988, 1989, 1990 |
Eduardo Alonso Gonzalez , né en 1962, dans la province de La Havane (actuellement province d'Artemisa)[1] est un ancien coureur cycliste cubain, qui au cours de sa carrière a remporté à six reprises le Tour de Cuba, ce qui constitue le record de l'épreuve. Il a également remporté le Tour du Táchira en 1986.
Eduardo Alonso est sélectionné pour participer au Tour de Cuba en 1981. Il fait partie de l'équipe Juvenil. Il est âgé de 19 ans et termine cette première "Vuelta" sur le podium (3e)[2]. La même année il participe aux championnats du monde juniors, qui ont lieu en République démocratique allemande. Il termine les deux épreuves sur route à la quatrième, celle que ne retiennent pas les palmarès officiels. Mais la quatrième place obtenue par l'équipe cubaine juniors est à jauger à l'aune des 25 équipes classées. Distancée par les spécialistes de la RDA, de l'URSS et de la Suède, Cuba devance la Pologne, le Danemark (où figure le jeune Bjarne Riis), la Norvège, la Belgique.
La Vuelta suivante, en 1983, il est membre à part entière de l'équipe nationale cubaine (équipe Cuba "A") et remporte le prologue contre-la-montre. Il termine la course à la troisième place et l'équipe cubaine est seconde du classement par équipes ...entre l'équipe "B" de la République démocratique allemande (celle du vainqueur Olaf Jentzsch) et celle de l'équipe soviétique "A".
L'édition 1984 du Tour de la grande île caraïbe est celle de sa première victoire. Vainqueur de la septième étape, du classement général de la montagne, il triomphe au classement final individuel à La Havane, devant Jens Heppner (RDA), Viktor Demidenko (URSS), Lutz Lötzsch (RDA). Et l'équipe cycliste de Cuba (équipe "A") se classe première au challenge collectif.
En 1982, il débute entre Prague, Varsovie et Berlin une série de sept participations à la principale course du calendrier "amateurs". Il n'y tient pas les premiers rôles mais il termine les sept courses et figure ainsi parmi les coureurs les plus "fidèles" à cette épreuve[3]. Sa dernière participation en 1990, correspond également à sa dernière victoire au Tour de Cuba. Mais ce n'est pas l'athlète qui décline. S'ouvre en effet pour Cuba, lâchée par ses partenaires économiques de l'Est européen, la "Période spéciale" : le Tour de Cuba est interrompu pendant dix années, et le cyclisme cubain n'est pas un produit d'exportation. Eduardo Alonso[4] a participé à plusieurs courses en Italie. En 1983 il termine le Tour des régions italiennes à la seconde place. Il s'y classe 4e en 1986.
Au Tour de Cuba, il totalise 6 victoires au classement individuel final. Mais il est à noter qu'à partir de 1991, cette épreuve n'est plus organisée pendant une dizaine d'années. Il n'est pas possible d'affirmer qu'Eduardo Alonso en eut gagné quelques autres, mais la mise en sommeil du cyclisme cubain stoppe irrémédiablement la carrière d'un des plus grands sportifs de l'île. Vainqueur en 1984, plus de six minutes le séparent de son second, Jens Heppner. En 1986, son deuxième succès le place une nouvelle fois devant un coureur de la RDA, Dan Radtke. En 1989, il obtient sa cinquième victoire devant le soviétique Djamolidine Abdoujaparov. Ces six victoires et ses trois autres places sur le podium ( 3e en 1981 et 1983, 2e en 1985) sont associées à cinq victoires de l'équipe cubaine au classement collectif (1984, 1986, 1987, 1988 et 1990). Il remporte aussi un grand prix de la montagne, en 1984, un classement au combiné, en 1986, deux prologues contre-la-montre (1983, 1989), deux étapes contre-la-montre par équipes (en 1983 et 1987), quatre étapes contre-la-montre individuel (en 1986, 1987, 1988 et 1990), et sept étapes en ligne (une en 1984, une en 1985, deux en 1987, deux en 1989, une en 1990[5])