Cet article abordera le sujet de Eugene Parker, qui a gagné en pertinence ces dernières années en raison de son impact sur divers aspects de la société. Des avancées technologiques aux changements dans la dynamique du travail, Eugene Parker a suscité un grand intérêt et un grand débat parmi les experts et la population en général. Dans cette optique, l'influence de Eugene Parker dans différents contextes sera analysée, ainsi que ses implications à court et à long terme. Les perspectives futures sur Eugene Parker et la façon dont il continuera à affecter notre environnement seront également explorées.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Eugene Newman Parker |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Membre de | |
Directeur de thèse | |
Distinctions | Liste détaillée Médaille John-Adam-Fleming () Médaille Arctowski () Henry Norris Russell Lectureship () Prix George Ellery Hale () Médaille Chapman () National Medal of Science () Médaille William-Bowie () Médaille Karl-Schwarzschild () Médaille d'or de la Royal Astronomical Society () Médaille Bruce () Kyoto Prize in Basic Sciences () James Clerk Maxwell Prize for Plasma Physics () Prix Hannes-Alfvén () APS Medal for Exceptional Achievement in Research () Prix Crafoord en astronomie () |
Eugene Parker, né le à Houghton (Michigan) et mort le à Chicago, est un astrophysicien américain spécialiste du Soleil.
Après avoir étudié à l'université d'État du Michigan et au Caltech, Eugene Parker développe au milieu des années 1950 la théorie du vent solaire et prédit la forme spiralée du champ magnétique à l'intérieur du système solaire (spirale de Parker). Sa théorie, fondée sur des équations mathématiques et initialement publiée en 1958, fut d'abord rejetée par les spécialistes de l'époque, puis fut confirmée en 1962 par les données de la sonde Mariner II envoyée vers Vénus[1]. En 1987, il propose que la couronne solaire est constituée d'une multitude de minuscules éruptions solaires couvrant la totalité de la surface du Soleil.
Dans une préface au livre de Henrik Svensmark et Nigel Calder, The Chilling Stars: A New Theory of Climate Change (2007), Eugene Parker a écrit : « Le réchauffement global est devenu une question politique, aussi bien dans les gouvernements que dans la communauté scientifique. Des scientifiques 'éminents' ont tracé les lignes de la science et une idée nouvelle importante est un intrus mal accueilli. Elle renverse l'orthodoxie établie[2] ».
En , il assiste au décollage de la sonde solaire Parker[3]. C'est la première fois qu'une personne vivante reçoit l'honneur d'avoir une sonde spatiale à son nom[3].
Il meurt le à l'âge de 94 ans après que la sonde a « touché le Soleil » selon les mots de la NASA, en s'approchant d'abord à 13 millions de kilomètres de sa surface en , puis à près de 6 millions de kilomètres[3].