Dans cet article, nous explorerons en détail le sujet de Fernando Arrabal, qui a fait l'objet d'études et d'intérêt dans divers domaines de la connaissance. Fernando Arrabal a attiré l'attention des universitaires, des professionnels et du grand public en raison de sa pertinence et de son influence sur des aspects clés de notre société contemporaine. De son impact sur la santé, l'environnement, la politique, l'économie, la culture, à son rôle dans l'histoire et le développement humain, Fernando Arrabal est devenu un sujet central de débat et de réflexion dans le monde d'aujourd'hui. . Tout au long de cet article, nous examinerons les différentes perspectives et dimensions de Fernando Arrabal, dans le but d'offrir une vision complète et fondée de ce sujet très pertinent.
Il vit en France depuis 1955, et est un desterrado. Il a réalisé sept longs-métrages. Il a publié une centaine de pièces de théâtre, quatorze romans, huit cents livres de poésie, plusieurs essais et sa célèbre Lettre au général Franco du vivant du dictateur. Son théâtre complet est publié en de nombreuses langues (en deux volumes de plus de deux mille pages). Il est cofondateur du mouvement Panique avec Roland Topor, Christian Zeimert et Alejandro Jodorowsky, et Transcendant satrape du Collège de 'Pataphysique depuis 1990. Pour le dramaturge, le Panique est une « manière d’être régie par la confusion, l'humour, la terreur, le hasard et l'euphorie » (Panique, Manifeste pour le troisième millénaire) (thèmes récurrents dans son art.)
« Un théâtre fou, brutal, clinquant, joyeusement provocateur. Un potlatch dramaturgique où la carcasse de nos sociétés « avancées » se trouve carbonisée sur la rampe festive d'une révolution permanente. Il hérite de la lucidité d'un Kafka et de l'humour d'un Jarry ; il s'apparente, dans sa violence, à Sade ou à Artaud. Mais il est sans doute le seul à avoir poussé la dérision aussi loin. Profondément politique et joyeusement ludique, révoltée et bohème, elle est le syndrome de notre siècle de barbelés et de goulags : une façon de se maintenir en sursis. »
Dans son enfance, Arrabal a souffert de la mystérieuse disparition de son père, condamné à mort par le régime de Franco, puis évadé en 1941. À cause de ce traumatisme, comme l'a écrit le prix NobelVicente Aleixandre,
« la connaissance qu'apporte Arrabal est teintée d'une lumière morale qui réside dans la matière même de son art. »
Fernando Arrabal Terán est le fils du peintre Fernando Arrabal Ruiz et de Carmen Terán González.
Le 17 juillet 1936 lors de la tentative de coup d'État militaire à l'origine de la guerre civile espagnole, le père de Fernando Arrabal demeure fidèle à la République, et, en conséquence, est condamné à mort pour rébellion militaire. Par la suite, la peine sera commuée en trente années de prison. Fernando Arrabal senior passe par les prisons de Santi Espiritu à Melilla, Monte Hacho à Ceuta (où il tente de se suicider), Ciudad Rodrigo et Burgos, jusqu'à ce que, le , il soit transféré à l'hôpital de Burgos, étant supposé malade mental. Des recherches postérieures laissent à penser que la maladie était simulée afin d'obtenir un transfert dans un endroit moins surveillé. Le , Fernando Arrabal senior s'évade de l'hôpital en pyjama, alors qu'au-dehors un mètre de neige recouvre les champs. On n'aura plus jamais de nouvelles de lui, malgré des investigations minutieuses réalisées plus tard.
Arrabal écrit :
« Sans vouloir comparer l'incomparable, face à ces choses crépusculaires (et sans lien logique bien souvent) je pense fréquemment à un bouc émissaire : mon père. Le jour où a commencé la guerre incivile, il a été enfermé par « ses compagnons compatissants » dans la salle des drapeaux d'une caserne de Melilla ; pour qu'il réfléchisse bien, car il risquait d'être condamné à mort pour rébellion militaire s'il ne se joignait pas au soulèvement (alzamiento). Au bout d'une heure le lieutenant Fernando Arrabal a appelé ses ex-camarades, déjà ! Pour leur dire qu'il n'avait pas besoin de réfléchir davantage. Grâce à cela aujourd'hui dois-je être témoin, exemple ou symbole, comme lui, de ce qu'il advient de plus essentiel ? Moi qui ne suis qu'un exilé. Si on m'éloigne de mes bien-aimés chiffres, ce qui m'entoure me porte à la confusion, au désordre… sans ordonnance. Je ne veux pas être un bouc émissaire comme l'a été mon père, je ne veux qu'expirer vivant, quand Pan le voudra. »
Pendant ce temps, la mère d'Arrabal, en 1936, était revenue à Ciudad Rodrigo, où elle installe Fernando tandis qu'elle va travailler à Burgos, alors capitale des Nationalistes et résidence du gouvernement du général Franco. En 1937 Fernando entre à l'école des Thérésiennes, jusqu'à ce que, en 1940, une fois terminée la guerre civile, sa mère aille vivre à Madrid, précisément au 17, rue de la Madera. Il apprend à lire et à écrire à Ciudad Rodrigo (dans la province de Salamanque).
En 1941, Fernando Arrabal gagne un concours d'« enfants surdoués ». Il fait ses études au collège des Escolapios de San Antón (école pie fréquentée en leur temps par Victor Hugo et Jacinto Benavente) et plus tard chez les Escolapios de Getafe. À cette époque Arrabal lit beaucoup et mène des expériences, qui, comme il le reconnaît lui-même, lui seront utiles plus tard.
Jeunesse (1946-1956)
En 1947, sa mère l'oblige à suivre des cours préparatoires pour entrer à l'Académie générale militaire, mais Arrabal n'y assiste pas, de sorte qu'en 1949 il est envoyé à Tolosa (province de Guipuscoa) où il étudie à l'école théorico-pratique de l'industrie et du commerce du papier. C'est à cette époque, en 1950, qu'il écrit plusieurs pièces de théâtre aujourd'hui inédites.
En 1951 il commence à travailler à la Papelera Española. Il est envoyé à Valence où il passe le baccalauréat, puis à Madrid où il étudie le droit. Pendant ces années il fréquente l'Ateneo de Madrid et les poètes postistes, s'attelle à de nouvelles versions de Pique-nique (alors intitulée Les soldats), et il écrit El triciclo (premier titre : Les Hommes au tricycle).
En 1954, il se rend à Paris en auto-stop pour voir jouer Mère Courage et ses enfants de Bertolt Brecht, car le Berliner Ensemble se produit dans la capitale. Plus tard, à Madrid, il fait la connaissance de Luce Moreau qui deviendra sa femme. En 1955 il obtient une bourse de trois mois pour étudier à Paris et pendant ce temps, il vit au collège d'Espagne de la Cité universitaire. Il fait alors une grave rechute de tuberculose. Il a toujours considéré cette maladie comme une « malheureuse chance » qui lui a permis de s'installer définitivement dans sa véritable patrie, celle de Kundera et de Vivès, d'Ignace de Loyola et de Picasso : l'exil.
Procès et prison
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Jugé sous le régime franquiste en 1967 et emprisonné pour son engagement politique à travers son œuvre, et ce malgré le soutien énergique de la plupart des grands écrivains de l'époque, de François Mauriac à Arthur Miller, et une requête auprès du tribunal du célèbre romancier et dramaturge irlandais Samuel Beckett qui déclarera alors :
« Si faute il y a qu'elle soit vue à la lumière du grand mérite d'hier et de la grande promesse de demain et par là pardonnée. Que Fernando Arrabal soit rendu à sa propre peine. »
Plus tard la démocratie en Espagne lui permettra d'atteindre une véritable reconnaissance dans son pays natal avec une centaine de distinctions dont deux prix nationaux de théâtre. Certaines de ses pièces connaîtront de grands succès, comme Lettre d'amour interprétée par María Jesús Valdés au Centro Dramático Nacional.
Prix et reconnaissance
Bien que controversée, son œuvre est reconnue partout dans le monde (grand prix de théâtre de l'Académie française, prix Nabokov du roman, Espasa d'essai, World’ Theater, Pasolini de cinéma, le Mariano de Cavia de journalisme, Alessandro Manzoni de poésie, etc.).
2011 : « Grand Rectum » de la Symfolium Université de foulosophieAu cours de cette semaine de nombreuses activités sont programmées telles une partie d'échecs en simultanée à la Grande bibliothèque de Montréal, une rencontre avec la troupe Momentum qui lui a rendu un hommage particulier en reprenant devant lui un de ses textes sur scène devant plus de 450 personnes.
2019 : Gran Cruz de la Orden Civil de Alfoso X el Sabio
Un buste de lui a été fait par Cyril de La Patellière pendant la représentation même d'une de ses pièces de théâtre à Nice en juin 1992. Ce buste a fait partie d'une exposition itinérante en Europe sous le titre « Parigi l'avanguardia ».
En 1994, le sculpteur Mustafa Arruf réalise un buste en bronze que la ville de Melilla consacre à la longue et internationale carrière du dramaturge.
Arrabal a reçu le prix Nadal du roman en 1982 pour La torre herida por el rayo (publié en français aux éditions Grasset, sous le titre La tour prends garde). Il a remporté aussi le prix Nabokov international.
2008 : Clitoris, poème avec 56 traductions (dont la version tchèque de Milan Kundera)
Réalisation sous la direction d'Ante Glibota d'une œuvre monumentale avec les cinq artistes chinois contemporains les plus connus: Yu Minjun, Wang Guangyi, Zhang Xiaogang, Yang Shaobin et le photographe Wang Quingsong. Avec chacun des cinq artistes, Ante Glibota et Fernando Arrabal ont réalisé un seul livre « de bibliophilie », de 61 kg et 126 × 84 × 11 cm, Delight Edition. Chacun des livres comprend un essai introductif d'Ante Glibota et 20 poèmes de 20 vers chacun d'Arrabal : en français, en anglais et en chinois.
2009 : L’Adieu aux dinosaures, dess. Olivier O. Olivier, éd. Au crayon qui tue, Paris
2019 : Sarah et Victor, bois gravés originaux de José San Martin, 40 exemplaires numérotés, signés de l'auteur et de l'artiste, Au crayon qui tue, Paris
En 2015, certains de ses textes sont adaptés sur des pièces musicales par le groupe canadien Seagoat Bones. L'album porte le nom de Phonèmes.
Œuvre dramatique
Premier prix international théâtre du millénaire (2010), il a publié une centaine de pièces de théâtre dans le monde entier, dont :
Pique-nique en campagne, 1952 (Picnic)
Le Tricycle, 1953 (El triciclo)
Oraison, 1958 (Oracíon, 1957)
Les Deux bourreaux, 1958
Fando et Lis, 1958
Le Cimetière des Voitures, 1958 (El cementerio de automóviles)
Guernica, 1961 (Guernica, 1959)
Le Labyrinthe, 1961 (El laberinto, 1967)
La Bicyclette du condamné, 1961 (La bicicleta del condenado, 1959)
Le Grand Cérémonial, 1965 (El gran ceremonial, 1963)
Cérémonie pour un Noir assassiné, 1965
Cérémonie pour une chèvre et un nuage, 1965
Le Couronnement, 1966
Concert dans un œuf, 1966
L'Architecte et l'Empereur d'Assyrie, 1967 (El arquitecto y el emperador de Asiria, 1966)
Les Amours impossibles, 1967
Les Quatre cubes, 1967
La Communion solennelle, 1967
Strip-tease de la jalousie, 1967
La Jeunesse illustrée, 1967
Dieu est-il devenu fou ?, 1967
Le Jardin des délices, 1968 (El jardín de las delicias, 1967)
Bestialité érotique, 1968 (Bestialidad erótica)
Une tortue nommée Dostoïevski, 1968
…Et ils passèrent des menottes aux fleurs, 1969 (…Y pusieron esposas a las flores)
L'Aurore rouge et noire (Groupuscule de mon cœur; Tous les parfums d’Arabie; Sous les pavés la plage; Les fillettes), 1969
Ars Amandi, 1972
Dieu tenté par les mathématiques, 1972
Le Ciel et la Merde, 1972 (El cielo y la mierda)
La Grande Revue du XXe siècle, 1972
Jeunes barbares d'aujourd'hui, 1975 (Jóvenes bárbaros de hoy)
La Guerre de mille ans (Bella Ciao), 1976
Sur le fil, ou la ballade du train fantôme, 1976
Vole-moi un petit milliard (sous le pseudonyme de Gérard Saint-Gilles), 1977
La Tour de Babel, 1978
La Marche royale, 1978
Une orange sur le mont de Vénus, 1978
La Gloire en images, 1978
Mon doux royaume saccagé, 1980
Le Roi de Sodome, 1980
Le Ciel et la Merde II, 1980
L'extravagante réussite de Jésus-Christ, Karl Marx et William Shakespeare, 1982
Lève-toi et rêve, 1982
Les Quatre Cubes, 1982
Une chèvre sur un nuage, 1982
Les Délices de la chair, 1984 (Delicias de la carne)
La ville dont le prince était une princesse, 1984
Bréviaire d'amour d'un haltérophile, 1985
Apokalyptica, 1985
La Charge des centaures, 1985
Les 'Cucarachas' de Yale, 1988
Une Pucelle pour un gorille, 1988
The Red Madonna, 1988
La Traversée de l'Empire, 1988
La Nuit est aussi un soleil, 1990 (La noche también es un sol)
Le fou rire des Lilliputiens, 1996
Comme un lis entre les épines, 1996
Lettre d'amour, 2004
Claudel et Kafka, 2004
Le Château des clandestins, 2009
L'Adieu aux dinosaures, 2009
Dali: prémonition de la Guerre Civile (Dali vs Picasso), 2013
L’Impromptu (torride) du Kremlin (Staline vs Wittgenstein), 2014
Pingouines, 2015
Sarah et Victor, 2019
Essais
Carta al General Franco / Lettre au général Franco, bilingue espagnol-français, éd. Christian Bourgois, col. 10/18, Paris, 1972.
Panique - Manifeste pour le troisième millénaire, punctum, Paris, 2006.
El Pánico. Manifiesto para el tercer milenio (2007).
Diccionario pánico, éd. Libros del innombrable, Zaragoza, 2008.
Universos arrabalescos (2009).
Defensa de Kundera, éd. Libros del innombrable, Zaragoza, 2009.
Fernando Arrabal, trop pris par ses activités littéraires, écrit de moins en moins dans la presse. Il a obtenu le prix Mariano de Cavia (la plus haute distinction pour un journaliste en Espagne) pour ses collaborations dans Generación XXI, L'Express, El Mundo, Exceso, El innombrable, ses articles de fond (opinión) dans El País et ses terceras dans ABC.
Sur Fischer : initiation aux échecs, éd. du Rocher, Monaco, 1972
Réédité sous le titre Fischer : le roi maudit - initiation aux échecs, Éditions du Rocher, 1980, 1992 (ISBN2-268-01418-5) (Bobby Fischer: el rey maldito).
« Je n'ai mis en scène, en octobre 1985 et à l'Opéra Royal de Belgique, que deux opéras (La vida breve de Falla et Goyescas de Granados.) Assurément, sous ma direction, les membres des chœurs, sur scène, étaient nus, mais paniquement recouverts d'argile pour être plus précis. »
Le 13 février 2009: première de son opéra « Faustbal », musique de Leonardo Balada (1933-) et mise en scène des Comediants de Barcelone. Au Teatro Real: Opéra de Madrid. Chœur et Orchestre Titulaire du Teatro Real. Orchestre symphonique de Madrid. Mise en scène : Joan Font. Jesús López Cobos: directeur musical. « Faustbal est la femme qui, au troisième millénaire est la réincarnation du docteur Faustroll d'Alfred Jarry.
Œuvre cinématographique
Fernando Arrabal (prix Pasolini de cinéma) a réalisé sept longs-métrages comme metteur en scène. Il en a également écrit les scénarios :
1991 : New York, New York !, une production Antenne 2 avec Tom O'Horgan, Melvin Van Peebles et Tom Bishop
Des adaptations cinématographiques ont été faites de plusieurs de ses pièces : Le Grand Cérémonial (dir. Pierre-Alain Jolivet), El triciclo (dir. Luis Argueta), El ladrón de sueños (dir. Arroyo), Pique-nique (dir. Louis Sénechal), Guernica (dir. Peter Lilienthal), Fando et Lis (dir. Alejandro Jodorowsky), etc.
Fernando Arrabal a souvent déclaré qu'il est « un peintre frustré ». Dans sa propre famille, outre son père, se sont fait remarquer Ángel (1874-1926), Carmen, Lélia et surtout Julio Arrabal, « un grand portraitiste qui peint à l'huile » selon l'écrivain. Dans ses rares excursions artistiques Arrabal a peint une cinquantaine de tableaux, exécuté une centaine de dessins et autant de collages exposés dans des musées tels que Paris Art Center, Bayeux ou Carlo Borromeo de Milan.
Son activité principale, avec la peinture, consiste à collaborer avec des artistes capables de réaliser des huiles de grand format à partir des croquis détaillés qu'il leur propose.
Le premier tableau de cette collection d'une centaine d'huiles a été reproduit en 1962 dans la revue La Brèche, choisi par André Breton.
Fernando Arrabal collabore tout particulièrement avec la plasticienne/vidéaste Christèle Jacob, avec qui il a réalisé une dizaine de vidéos et une série de photomontages, qui vont de Les Artilleurs des échecs et de la littérature, d'après Henri Rousseau (1909), au Rendez-vous du Corps des satrapes, d'après Max Ernst (1922).
↑Tout ce qui concerne l'emprisonnement du père est extrait de Angel Berenguer, 1977.
L'étude exhaustive de Francisco Torres Monreal sert d'introduction indispensable aux deux volumes de plus de deux mille pages publiés dans la Coleccion Clàsicos Castellanos des éditions Espasa de 1997 mises à jour en 2009.
↑Italiques, deuxième chaîne de l'ORTF, 30 août 1974.
↑(es) « María Jesús Valdés: «Carta de amor ha sido un gran reto, porque es una obra de interés tremendo pero dificilísima» », ABC, Madrid, Diario ABC, SL / Vocento, (ISSN1136-0143, lire en ligne).
↑(es) Juan Carlos Ier et Javier Solana Madariaga, « REAL DECRETO 1688/1987 de 30 de diciembre por el que se concede la Medalla al mérito en las Bellas Artes en su categoria de Oro a las personas que se citan », Boletin de Estado, Madrid, no 158, , p. 34661 (lire en ligne).
↑(es) « Real Decreto 124/2019, de 1 de marzo, por el que se concede la Gran Cruz de la Orden Civil de Alfonso X el Sabio a don Fernando Arrabal Terán. », Boletín Oficial del Estado, Madrid, no 53, , p. 20559 (lire en ligne).
Ouvrages consacrés entièrement à l'œuvre d'Arrabal :
AA.VV., Cahiers du silence Paris, Kesselring, 1977.
(es) AA.VV., Arrabal en el banquillo, Paris, Ediciones Frente Libertario, 1977.
(es) AA.VV., « Especial Arrabal », dans Barcarola no 40, septembre 1992.
(es) AA.VV., « Arrabal en abril », dans Abil no 4 Luxemburgo, juillet 1992.
(es) AA.VV., Visionnes de Arrabal (coord. Vicente Martín), Museo de la ciudad, Valence.
AA.VV., « Fernando Arrabal », Poésie 1 no 42, Paris, juin 2005.
(es) AA.VV., « ARRABAL », El extramundi. Los Papeles de Iria Flavia, printemps 2005.
(es) AA.VV., « F.A. 50 años de exilio decisivo », dans La Ratonera no 16, janvier 2006.
AA.VV., « Hommage à F.A », dans L’arbre no 8-9, mars 2006.
(es) AA.VV., « Fernando Arrabal », dans Almunia no 6-7, printemps 2003.
(es) AA.VV., « Festival Arrabal », dans Ánfora Nova no 67-68, 2006.
AA.VV., « F.A. j’irai comme un cheval fou », dans TROU no XVII, 2007.
Aranzueque-Arrieta, Frédéric, Arrabal, la perversion et le sacré : L’architecte et l’empereur d’Assyrie (1967), La charge des centaures (1984), Paris : L’Harmattan, 2006 (ISBN978-2-296-00189-3).
Aranzueque-Arrieta, Frédéric, Arrabal, une oeuvre-vie panique, Les éditions Moires, 2019 (ISBN979-10-91998-40-6).
(en) Arata, Luis Oscar, The festive play of Fernando Arrabal, Lexington : University Press of Kentucky, 1982 (ISBN978-0-8131-1451-4).
(es) Berenguer, Ángel, « Crono-biografía de Fernando Arrabal », dans Cátedra, 1977 (ISBN978-84-376-0100-7).
Berenguer, Joan P., Bibliographie d’Arrabal : entretiens avec Arrabal : plaidoyer pour une différence, Presses universitaires de Grenoble, 1979.
(en) Bishop, Tom, The Architect and the Emperoro of Asiría, Grove Press, New York, 1974.
(en) Bishop Helen Gary, Garden of Delights, New York, Grove Press, 1974.
(es) Cantalapiedra Erostarbe et F. Torres Monreal, El teatro de vanguardia de F.A., Kassel, D. Éd. Reicheberg, 1977.
(it) Celli, Renata, I’Il romanzo di F.A., Milano, Ligue.
Chesneau, Decor et Decorum, Québec, Éd. Naaman.
(pt) Coêlho, Wilsonn, O observador e a coisa observada (lire en ligne).
(pt) Coêlho, Wilson, Fernando Arrabal: o sonho é somente um detalhe (lire en ligne).
(pt) Coêlho, Wilson, Arrabal: o homem sem raízes (lire en ligne).
(pt) Coêlho, Wilson, Fernando Arrabal: caminhos da crueldade, do absurdo e do pânico , Niterói: UFF, 2014.
(pt) Coêlho, Wilson, Fernando Arrabal: dos entornos às circunstâncias (lire en ligne).
Daetwyler, Jean Jacques, Arrabal, Lausanne : Ed. L’âge de l’Homme », 1975.
(en) Donahue, Thomas John, The theater of Fernando Arrabal: A garden of earthly delights, New York: New York University Press, 1980 (ISBN978-0-8147-1771-4).
(it) Emili Ennio, Teatro di Arrabal Tristre, Éd. Umana, 1973.
(fr + it) Glibota, Ante, Arrabal Espace, Paris : Paris Art Center & Rome : Studio di Val Cervo (536 p. de grand format 31x31 cm., et 2 500 photographies).
(en) Golen Laura P., The novels of F.A., N.Y. : Rutgers.
(de) Kreis, Karl-Wilhelm, Zur Ästhetik des Obszönen: Arrabals Theater und die Repressive Sexualpolitik des Franco-Regimes, Hamburg: Krämer, 1989 (ISBN978-3-926952-20-2).
(en) Podol, Peter L., Fernando Arrabal, Boston : Twayne Publishers, 1978 (ISBN978-0-8057-6340-9).
(de) Premer-Kayser, Bertie, Das dramatische Werk des Spaniers Fernando Arrabal: Untersuchung der inhaltlichen und formalen Entwicklung, der psychischen und politischen Tendenzen, Francfort : Puppen & Masken, 1984 (ISBN978-3-922220-25-1).
(es) Rabassó, Carlos A., Teatrilogía del vanguardismo dramático : aproximaciones hermenéutico-fenomenológicas al teatro español contemporáneo, Barcelone : Éditorial Vosgos, 1993 (ISBN978-84-346-0415-5).
Raymond-Mundshau, Françoise, Arrabal, 1972, coll. Classiques du XXe siècle.
(it) Regio Capello, Il Teatro di F.A., Roma : Éd. Umana 1967.
Schiffres, Alain, Entretiens avec Arrabal, Paris, Pierre Belfond, 1969.
(es) Steen, Maris, El humor en la obra de F.A. Madrid, Éd. Playor, 1968.
(es) Tallgren, Viveca, El temor al dios Pan : reflexiones sobre la recepción de algunas obras de Fernando Arrabal, Saragosse : Libros del Innombrable, 2005 (ISBN978-84-95399-61-8).
(es) Torres Monreal, Francisco, El cine de Arrabal, Murcia, 1999.
(es) Torres Moreal, Francisco, Teatro completo de Fernando Arrabal (2 vol., 2 380 p. et un cahier de photographies), Espasa Calpe (coll. Clásicos Castellanos), 1997 et Everest, 2009.
(it) Trecca, Simone, La parola, il sogno, la memoria : El laberinto (1956) di Fernando Arrabal, Pise : ETS, 2005 (ISBN978-88-467-1262-2).
(it) Zigrino, Damiano Augusto, Il teatro di Fernando Arrabal, Città di Castello : Edimond, 2008 (ISBN88-500-0382-X).
(fr) Combes,Émilie, Le Théâtre panique de Fernando Arrabal, Paris, Classique Garnier, 2020.
Filmographie
2011 : Vidarrabal, réalisé par Xavier Pasturel-Barron
2011 : Arrabal et les Garçons, réalisé par Christian Masson