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Ferrari 250 LM | ||||||||
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Marque | ![]() |
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Années de production | 1963-1966 | |||||||
Production | 32 exemplaire(s) | |||||||
Classe | Berlinette de course Sportive de prestige |
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Usine(s) d’assemblage | Maranello, Italie | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Énergie | Essence | |||||||
Moteur(s) | V12 à 60° « Colombo » | |||||||
Position du moteur | Longitudinale centrale arrière | |||||||
Cylindrée | 2 953 cm3 (1er ex.) puis 3 286 cm3 | |||||||
Puissance maximale | 320 ch | |||||||
Couple maximal | 294 N m puis 435 N m | |||||||
Transmission | Propulsion | |||||||
Boîte de vitesses | Boîte manuelle à 5 rapports | |||||||
Masse et performances | ||||||||
Masse à vide | 820 puis 850 kg | |||||||
Vitesse maximale | 287 km/h | |||||||
Accélération | 0 à 100 km/h en 6,1 s | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé 2-portes | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4 090 mm | |||||||
Largeur | 1 700 mm | |||||||
Hauteur | 1 110 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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La Ferrari 250 LM est une automobile de course développée par le constructeur italien Ferrari.
Présentée à Paris en novembre 1963, la Ferrari 250 LM (« LM » pour « Le Mans ») est une déclinaison Grand Tourisme de la Ferrari 250 P. Destinée à remplacer la victorieuse 250 GTO, elle ne connaîtra pas les heures de gloire des modèles précédents. Face à une concurrence toujours plus pressante, et notamment face au nouveau projet dénommé GT40 de Ford, Ferrari décide de produire à un son tour un modèle GT, en espérant comme à son habitude la « nonchalante bienveillance » de la CSI pour obtenir l'homologation en GT dès la mise en route de la production.
Alors que Ferrari avait déjà fait passer la 250 GTO pour une simple évolution de la 250 GT, la même ruse ne convainquit pas une deuxième fois le CSI. L'homologation de la 250 LM en Grand Tourisme ayant été refusée par les instances internationales de l'époque, elle fut condamnée à se battre avec les prototypes qui la surclassaient. Elle a tout de même gagné les 24 Heures du Mans en 1965 avec Masten Gregory et Jochen Rindt (catégorisée alors P 5.0), sauvant la victoire pour Ferrari (deuxièmes Pierre Dumay et Gustave Gosselin, aussi sur LM).
Elle remporta aussi le Trophée international des prototypes du championnat du monde des voitures de sport 1965.