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Florent-Guiot | ||
Fonctions | ||
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Député du bailliage de Semur-en-Auxois | ||
– (2 ans, 6 mois et 1 jour) |
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Gouvernement | Assemblée constituante de 1789 | |
Groupe politique | Tiers état | |
Député de la Côte-d'Or | ||
– (3 ans, 1 mois et 21 jours) |
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Gouvernement | Convention nationale | |
Député au Conseil des anciens | ||
– (2 ans, 6 mois et 2 jours) |
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Député au Conseil des Cinq-Cents | ||
– (1 an, 8 mois et 10 jours) |
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Député au Corps législatif | ||
– (14 ans, 5 mois et 10 jours) |
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Biographie | ||
Nom de naissance | Guiot de Saint-Florent | |
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Semur-en-Auxois, France | |
Date de décès | (à 78 ans) | |
Lieu de décès | Avallon, France | |
Nationalité | ![]() |
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Parti politique | Montagne Bonapartiste |
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Profession | Avocat Magistrat |
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députés de la Côte-d'Or | ||
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Guiot de Saint-Florent, dit Florent-Guiot ou Florent-Guyot, né à Semur-en-Auxois (département de la Côte-d'Or) le , mort à Avallon (Yonne) le , est un homme politique de la Révolution française.
Guiot de Saint-Florent est élu représentant du tiers-état pour le bailliage d'Auxois, deuxième et dernier, lors des États-généraux de 1789[1]. Il vote en faveur du rattachement du Comtat Venaissin à la France[2].
En septembre 1792, Florent-Guiot est élu député du département de la Côte-d'Or, le cinquième sur dix, à la Convention nationale[3].
Il siège sur les bancs de la Montagne. Lors du procès de Louis XVI, il vote la mort sans appel au peuple ni sursis. Il est absent lors du scrutin sur la mise en accusation de Marat[4] et vote contre le rétablissement de la Commission des Douze[5].
Il est nommé à de nombreuses reprises représentant en mission dans le département du Nord où il se fait remarquer et apprécier par son attitude modérée. Relégué en Flandre française, il accueille avec joie la chute de Robespierre et est l'un des rares représentants montagnards à repartir en mission après le 9 thermidor.
Il est réélu député de la Côte-d'Or au Conseil des Cinq-Cents avant de devenir ministre plénipotentiaire de la République en République des Grisons puis en République batave (juillet-novembre 1799). Il retrouve son siège de député sous le Consulat. Sous l'Empire, il devient procureur au Conseil des prises et est mêlé aux deux conspirations Malet en 1808 et 1812 mais il n'est pas inquiété.