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L'armée nationale gambienne compte approximativement 5 000 hommes[1].
Elle est constituée de plusieurs bataillons d'infanterie, d'une garde nationale et d'une marine. Toutes ces composantes sont sous la direction du département d'État pour la défense (actuellement détenu par le président Yahya Jammeh). Avant le coup d'État de 1994 perpétré par le capitaine Jammeh, l'armée gambienne recevait l'assistance technique ainsi qu'une assistance pour l'entraînement des États-Unis, de la république populaire de Chine, du Nigeria et de la Turquie. Avec le retrait de majorité de ces aides, l'armée a reçu une assistance renouvelée de la Turquie, du Pakistan et de Taïwan ainsi qu'une assistance nouvelle de la Libye et d'autres États. Le Pakistan a envoyé une équipe de conseillers pendant près d'un an et demi composée d'un brigadier, d'un capitaine de la marine et d'un capitaine de l'armée.
Les membres de l'armée gambienne ont participé à la mission ECOMOG, la force africaine déployée lors de la guerre civile du Liberia commencée en 1990[2]. Les responsabilités pour la sécurité interne et le respect de la loi sont assurées par les forces de police et de gendarmerie de la Gambie sous la direction de l'inspecteur général de la police et du ministre de l'intérieur.
Toutes ces composantes sont sous la direction du chef d'état-major, le lieutenant-général Massaneh Kinteh qui succéda au lieutenant-général Lang Tombong Kamba après que celui-ci eut planifié un coup d'État en 2009.
Les soldats gambiens sont dotés principalement des armes légères suivantes :
Forces disponibles pour le service militaire:
Forces aptes au service militaire:
Dépenses militaires : 0,9 % du PIB en 2009.
À la date du , l'armée gambienne est déployée au sein des missions suivantes[3] :