De nos jours, Forme AABA est un sujet dont on parle constamment et qui continue de susciter un grand intérêt dans la société. Depuis des années, Forme AABA s’avère être un facteur déterminant dans divers aspects de notre vie quotidienne, de la politique à la technologie, en passant par la culture et l’économie. Son influence est si marquée qu'elle ne laisse personne indifférent, puisque Forme AABA a su capter l'attention des spécialistes, des experts et du grand public. Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Forme AABA pour comprendre son importance, ses implications et l'impact qu'il a eu et continuera d'avoir sur nos vies.
Une forme AABA est une forme musicale, fréquente dans la chanson, le gospel ou le jazz, construite avec 2 sections différentes : une section A est répétée (AA) avec la même mélodie mais des paroles différentes ; elle est suivie d'une section B souvent appelée « pont » ou « bridge », amenant une dynamique et des harmonies différentes ; la forme se termine par le retour d'une section A[1].
Traditionnellement les sections ont une longueur identique, généralement 8 mesures, mais toute autre configuration est possible. Ainsi, la chanson Send In the Clowns est bâtie sur une structure de 6-6-9-8 mesures[2].
La forme-anatole est une forme AABA de 32 mesures[1].
La plupart des standards de jazz, généralement issus des comédies musicales de Broadway, sont construits sur une forme AABA : Over the Rainbow, All the Things You Are, Have You Met Miss Jones, I Got Rhythm...
Cette forme trouverait son origine dans les comédies musicales de Broadway, au tournant des XIXe siècle/XXe siècle, cette section AABA était alors le refrain des chansons[3]. C'est devenu la forme principale des chansons populaires américaines autour de 1925-1926[4].
Cette forme AABA est également très utilisée dans le rock des années 1950-1960, avant que l'alternance couplet/refrain ne devienne la norme : Great Balls of Fire (Jerry Lee Lewis, 1957), All I Have to Do Is Dream (The Everly Brothers, 1958), Will You Love Me Tomorrow (The Shirelles, 1960), Surfer Girl (The Beach Boys, 1963)[5]...