Frédéric Bazille
Frédéric Bazille
Portrait de Frédéric Bazille par
Étienne Carjat (1865).
Naissance |
6 décembre 1841 Montpellier, France |
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Décès |
28 novembre 1870 (à 28 ans) Beaune-la-Rolande (France) |
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Sépulture |
Cimetière protestant de Montpellier |
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Période d'activité |
1860-1870 |
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Nom de naissance |
Jean Frédéric Bazille |
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Nationalité |
Française |
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Activité |
Peintre |
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Maître |
Charles Gleyre |
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Lieux de travail |
Paris, Fontainebleau, Honfleur |
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Mouvement |
École de Barbizon |
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Influencé par |
Monet, Renoir, Degas, Sisley, Manet, Morisot, Cézanne, Pissarro, Guillaumin… |
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Père |
Gaston Bazille |
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Fratrie |
Marc Bazille (d) |
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Signature
Vue de la sépulture.
Jean Frédéric Bazille, né le 6 décembre 1841 à Montpellier (Hérault) et mort au combat le 28 novembre 1870 à Beaune-la-Rolande (Loiret), est un peintre impressionniste français.
Biographie
Frédéric Bazille, Portrait d'
Alfred Sisley (1867-1868), ancienne
Collection Wildenstein, détruit durant la
Seconde Guerre mondiale.
Frédéric Bazille naît dans une famille de notables protestants de Montpellier (Hérault), au no 11 Grand'rue (devenue Grand'rue Jean Moulin). Son père Gaston Bazille est agronome et sénateur ; sa mère Camille Vialars a hérité du domaine agricole de Saint-Sauveur à Lattes. Il entame des études de médecine pour complaire à ses parents. Mais dès 1859, il suit des cours de dessin au musée Fabre, dans l'atelier des sculpteurs Baussan père et fils, et dans l'atelier de peinture où il copie des maîtres anciens tel Véronèse.
En 1862, il part pour Paris. Sur le conseil de son cousin, le peintre Eugène Castelnau, il s'inscrit à l'atelier de Charles Gleyre où il perfectionne sa technique du dessin. Il y rencontre Claude Monet puis Auguste Renoir. Très vite, un groupe se forme autour d'Edgar Degas, Alfred Sisley, Édouard Manet, Berthe Morisot, Paul Cézanne, Camille Pissarro, Émile Zola et Paul Verlaine.
Il loue un atelier en 1864 puis en partage d'autres avec Renoir et Monet dès 1865. Désirant participer au Salon de 1866, il soumet deux toiles au jury : un sujet moderne, Jeune fille au piano, et une nature morte classique, Poissons. Comme il le pressentait, seule la seconde est acceptée,.
En 1865, il emménage rue Furstemberg avec Monet.
Ses toiles et celles d'autres artistes ayant été refusées au salon de 1867, il adresse le 30 mars au surintendant des beaux-arts Émilien de Nieuwerkerke une pétition demandant la tenue d'un salon indépendant. Le 2 avril, dans un lettre à sa mère, il annonce son projet de louer un grand atelier pour exposer ses œuvres avec celles d'une douzaine d'autres artistes.
L'atelier de Bazille. Le peintre se tient au centre, face à lui
Édouard Manet observe la toile ;
Edmond Maître joue du piano. Peinture collaborative avec Édouard Manet, (1870), huile sur toile (98 × 128 cm),
Paris,
musée d'Orsay.
Courbet leur rend visite, admire Le Déjeuner sur l'herbe de Monet et la Jeune Fille au piano de Bazille. En juillet 1866, il s'installe rue Visconti où il accueille Renoir puis Monet. En 1867, il peint son atelier de la rue Visconti. Il partage alors les lieux avec Auguste Renoir et Alfred Sisley. Renoir le représente en train de peindre Le Héron (Musée Fabre de Montpellier).
Renoir et lui louent ensuite un grand atelier aux Batignolles. Bazille et Manet s'y représentent en 1870 dans L'Atelier de Bazille, qu'ils peignent ensemble. La même année, Henri Fantin-Latour immortalise Bazille, vu de profil debout à droite, dans Un atelier aux Batignolles.
Frédéric se passionne aussi pour l'écriture, le théâtre, la musique et l'opéra. Il noue une solide amitié avec Edmond Maître, en compagnie duquel il assiste à des concerts.
Chez le galeriste-éditeur Alfred Cadart, il s'essaie à l'eau-forte. De cette tentative on ne connaît qu'une seule épreuve, La Vue de village.
Il passe généralement ses étés à Montpellier, dans la propriété familiale du domaine de Méric située face au village de Castelnau-le-Lez. Cet endroit sert de décor à quelques-unes de ses toiles comme La Robe rose (1864), Réunion de famille (1867) ou Vue de village (1868).
Le 16 août 1870, après l'éclatement du conflit franco-prussien, il s'engage contre la volonté de ses proches au 3e régiment de zouaves, comme sergent fourrier puis sergent-major. Mortellement blessé au bras et au ventre à la bataille de Beaune-la-Rolande (Loiret) en tentant de protéger des femmes et des enfants, il tombe en héros le 28 novembre 1870, à l'âge de 28 ans.
Sa mort affecte profondément son ami Edmond Maître. Dans une lettre à sa famille, il écrit : « de tous les jeunes gens que j'ai connus, Bazille était le plus doué, le plus aimable ».
Inhumation
Tombe de Frédéric Bazille à
Montpellier.
Portrait présumé de Frédéric Bazille par Émile Defonds
, Album de portraits cartes de visite ayant appartenu à Édouard Manet,
Paris,
BNF.
Il est inhumé au cimetière protestant de Montpellier. Le sculpteur Auguste Baussan réalise sa tombe,.
Postérité
Pierre-Auguste Renoir,
Frédéric Bazille peignant à son chevalet (1867) ; on y reconnaît Nature morte au héron de 1867,
Montpellier,
musée Fabre.
Composée d'une soixantaine de toiles, l'œuvre de Frédéric Bazille tombe tout d'abord dans l'oubli.
En 1900, le critique et historien Roger Marx le découvre. Il inclut deux de ses tableaux dans sa rétrospective d'art français organisée pour l'Exposition universelle de Paris.
Une timide résurrection s'amorce en 1926 grâce à l'historien d'art Henri Focillon. Mais il faut attendre les années 1950-1960 pour que l'intérêt porté à sa peinture dépasse le cercle des initiés montpelliérains. Ses tableaux quittent alors la collection familiale pour les musées américains.
Dès qu'il le peut, le musée Fabre de Montpellier complète un fonds déjà riche. Il organise une exposition en 1992 puis, à l'été 2016, une rétrospective avec le musée d'Orsay et la National Gallery of Art de Washington. Paul Perrin, co-commissaire de l'exposition, juge son œuvre à tout jamais « de jeunesse » — la sienne tout comme celle de l'impressionnisme.
Paysage au bord du Lez (1870), huile sur toile (138,4 × 201,9 cm),
Minneapolis Institute of Art.
Lieux de mémoire
Plusieurs lieux portent son nom :
Œuvres
- Couvercles de bouillon, juin 1864, huile sur toile, 27 × 35 cm, Montpellier, musée Fabre, ;
- Deux harengs, 1864, huile sur toile, 41 × 27,5 cm, Montpellier, musée Fabre, ;
- La Robe rose, 1864, huile sur toile, 147 × 110 cm, Paris, musée d'Orsay ;
- L'Ambulance improvisée (Monet est blessé à l'hôtel du Lion d'Or à Chailly-en-Bière), 1865, huile sur toile, 48 × 65 cm, Paris, musée d'Orsay ;
- L’Atelier de la rue Furstenberg, 1865-1866, huile sur toile, 80 × 65 cm, Montpellier, musée Fabre ;
- Autoportrait, vers 1865-1866, huile sur toile, 108,9 × 71,1 cm, Art Institute of Chicago (Chicago) ;
- Le Petit Jardinier, vers 1866-1867, huile sur toile, 168,9 × 128 cm, musée des Beaux-Arts de Houston ;
- Portrait de Paul Verlaine à l'âge de vingt-trois ans, 1867, huile sur toile, 57,2 × 45,1 cm, Suisse, collection privée en 2015 ;
- Nature morte au héron, 1867, huile sur toile, 97,5 × 78 cm, Montpellier, musée Fabre ;
- Les Remparts d'Aigues-Mortes, 1867, huile sur toile, 46 × 75,5 cm, Montpellier, musée Fabre, ;
- Réunion de famille, 1867, huile sur toile, 152 × 230 cm, Paris, musée d'Orsay ;
- Porte de la Reine à Aigues-Mortes, 1867, huile sur toile, 80,6 × 99,7 cm, New York, Metropolitan Museum of Art, ;
- Autoportrait, vers 1867-1868, huile sur toile, 54 × 46 cm, Minneapolis Institute of Art ;
- Le Pêcheur à l'épervier, 1868, huile sur toile, 134 × 83 cm, Musée d'Art contemporain de Rolandseck, Remagen ;
- Vue de village, 1868, huile sur toile, 137,5 × 85,5 cm, Montpellier, Musée Fabre ;
- Fleurs, 1868, huile sur toile, 130 × 95 cm, musée de Grenoble ;
- Scène d'été, 1869, 158 × 158 cm, Cambridge, Université Harvard ;
- Femme en costume mauresque, 1869, huile sur toile, Pasadena, Norton Simon Museum ;
- La Toilette, 1870, 153 × 148,5 cm, Montpellier, musée Fabre, ;
- L'Atelier de Bazille, 1870, en collaboration avec Édouard Manet, 98 × 128,5 cm, Paris, musée d'Orsay ;
- Paysage au bord du Lez, 1870, 137,8 × 202,5 cm, Minneapolis Institute of Art ;
- Jeune femme aux pivoines, 1870, huile sur toile, 60,3 × 75,2 cm, Montpellier, musée Fabre ;
- Homme portant un béret, Collection privée, Vente 2003 ;
- Vue d'une grande maison, dessin, Musée du Louvre ;
- Portrait d'un homme barbu, dessin, Musée du Louvre.
Expositions
- 1992-1993 : « Frédéric Bazille et ses amis impressionnistes », musée Fabre (Montpellier) et Brooklyn Museum, Brooklyn (New York), de juillet 1992 à janvier 1993 ;
- 1999 : « Monet & Bazille: A Collaboration », High Museum of Art (Atlanta), du 23 février au 16 mai 1999 ;
- 2003-2004 : « Bazille », musée Marmottan (Paris), d'octobre 2003 à janvier 2004 ;
- 2016 : « Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme », musée Fabre (Montpellier), du 25 juin au 16 octobre 2016 ;
- 2017 : « Frédéric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l'impressionnisme », musée d'Orsay (Paris), du 15 novembre 2016 au 5 mars 2017 ;
- 2017 : « Frédéric Bazille and the Birth of Impressionism », National Gallery of Art (Washington D.C.), du 9 avril au 9 juillet 2017. Quarante-cinq des cinquante-deux peintures connues de l'artiste sont réunies pour cette exposition.
Galerie
- Œuvres de Frédéric Bazille
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La Robe rose (1864), huile sur toile (147 × 110 cm), Paris, musée d'Orsay.
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L'Ambulance improvisée (1865) (Monet blessé à l’Hôtel du Lion d'Or à Chailly-en-Bière), huile sur toile (48 × 65 cm), Paris, musée d'Orsay.
-
Autoportrait (1865-1866), huile sur toile (109 × 72 cm), Chicago, Institut d'art de Chicago.
-
Le Petit Jardinier (vers (1866-1867), huile sur toile (168,9 × 128 cm), musée des beaux-arts de Houston.
-
Réunion de famille (1867), huile sur toile (152 × 230 cm), Paris, musée d'Orsay.
-
Nature morte au héron (1867), huile sur toile (97,5 × 78 cm), Montpellier, musée Fabre.
-
Les Remparts d'Aigues-Mortes (1867), huile sur toile (60 × 100 cm), Washington, National Gallery of Art.
-
Portrait d'Auguste Renoir (1867), huile sur toile (62 × 51 cm), Montpellier, musée Fabre.
-
Vue de village (1868), huile sur toile (130 × 89 cm), Montpellier, musée Fabre.
-
Fleurs, Frédéric Bazille, 1868, musée de Grenoble.
-
Le Pêcheur à l'épervier (1868), huile sur toile (134 × 83 cm), Zurich, Fondation Rau pour le Tiers-Monde.
-
Portrait d'Alphonse Tissié (1868-1869), huile sur toile, Montpellier, musée Fabre.
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Scène d'été. Les Baigneurs (1869), huile sur toile (160 × 160,7 cm), Cambridge, Fogg Art Museum.
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Portrait d'Edmond Maître (1869), huile sur toile (84 × 65 cm), Washington, National Gallery of Art.
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Femme en costume mauresque (1869), Pasadena, Norton Simon Museum.
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La Toilette (1869-1870), huile sur toile (153 × 148,5 cm), Montpellier, musée Fabre.
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Jeune femme aux pivoines (1870), huile sur toile (60,3 × 75,2 cm), Montpellier, musée Fabre.
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En collaboration avec Édouard Manet, L'atelier de Bazille (1870), huile sur toile (98 × 128 cm), Paris, musée d'Orsay.
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Jeune femme aux pivoines (ancien titre : Négresse aux pivoines) (1870), huile sur toile, Washington, National Gallery of Art.
Notes et références
- (en) Barbara E. White, Impressionists Side by Side: Their Relationships, Rivalries, and Artistic Exchanges, Knopf Doubleday Publishing Group, 1996, p. 270 : « Portrait Bazille, Portrait of Sisley, 1867-68. Oil on canvas, 11 x 12V1" (28 × 32 cm). Formerly Wildenstein Galleries, Paris; destroyed during World War II ».
- Encyclopædia Universalis, « FRÉDÉRIC BAZILLE », sur Encyclopædia Universalis (consulté le 31 juillet 2016).
- Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme, publié le 1er septembre 2016 sur le site En revenant de l'expo (consulté le 12 octobre 2016).
- Collectif : direction Michel Hilaire et Paul Perrin, Frédéric Bazille, la jeunesse de l'impressionnisme, Paris, Flammarion, 1916, 303 p. (ISBN 978-2-08-138821-5), pages 19 à 42.
- « L'Impressionnisme - Biographie de Frédéric BAZILLE », sur www.impressionniste.net (consulté le 31 juillet 2016).
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 559.
- Michel Schulman, Frédéric Bazille, 1841-1870, 1995, 436 p. (ISBN 9782307605720, lire en ligne), p. 355.
- La Tribune de l'art, Jeune Fille au piano, 1865-1866, . « Perdu », il est retrouvé sous une œuvre plus tardive par radiographie.
- Récit d’une vie : Frédéric Bazille, 17 janvier 2017.
- Marina Feretti Bocquillon, La Peinture au Musée d’Orsay, Éditions de la Martinière, 2004, 765 p. (ISBN 2-7324-3086-2), p. 218.
- Bazille occupa l'atelier au no 9, rue La Condamine, du 1er janvier 1868 au 15 avril 1870.
- L'atelier de Bazille, musée d'Orsay .
- Janine Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe en France, 1830-1950, préface de Michel Melot, Paris, Arts et métiers graphiques/Flammarion, 1985, p. 22 (ISBN 9782080120137).
- Sophie Monneret, L'Impressionnisme et son époque : Noms propres A à T, vol. 2, t. I, Paris, Robert Laffont, 1987, 997 p. (ISBN 2-221-05412-1).
- Photographe. - Installé à Paris du milieu des années 1850 jusqu'en 1880.. {BnF-Data.
- Album de portraits cartes de visite ayant appartenu à Édouard Manet : militaire non identifié (Bazille ?), publié le 2 avril 2012 sur le site Gallica.bnf.fr (consulté le 17 mai 2018).
- « BAZILLE Frédéric », sur Cimetières de Montpellier (consulté le 10 février 2015).
- Le sculpteur Auguste Baussan (1829-1907), L'inventaire, patrimoine culturel Languedoc Roussillon , consulté le 20 janvier 2017.
- Catherine Meneux, « MARX, Roger », notice de l'Institut national d'histoire de l'art (INHA).
- Institut national d'histoire de l'art, archive Marcel Aubert.
- Valérie Bougault, « Frédéric Bazille, récit d'une vie », Connaissance des arts, p. 78.
- Musée d'Orsay, Paris, « Frédéric Bazille. La jeunesse de l'impressionnisme », jusqu'au 5 mars 2017.
- Deux nouvelles œuvres de Frédéric Bazille (mai 2009), publié sur le site du musée Fabre (consulté le 2 mars 2020).
- « La plus belle collection de Bazille », Harmonie, Imp. Chirripo, Montpellier Agglomération, no 263, juin 2009, p. 11/48 (présentation en ligne, lire en ligne , consulté le 3 juin 2018).
- « Notice d’œuvre (no 61) : La robe rose, vue de Castelnau-le-Lez », sur musée d'Orsay (consulté le 2 mars 2020).
- « Notice d’œuvre (no 62) : L'ambulance improvisée », sur musée d'Orsay (consulté le 2 mars 2020).
- « Salle Bazille (Numéro d'inventaire 85.5.3) : L'atelier de la rue Furstenberg », sur musée Fabre (consulté le 2 mars 2020).
- (en) « Self-Portrait (Reference Number 1962.336) », sur The Art Institute of Chicago (consulté le 2 mars 2020).
- (en) « The Little Gardener (Reference Number 76.236) », sur Musée des Beaux-Arts de Houston (consulté le 2 mars 2020).
- (en) Lot no 209 : Signé F. Bazille, daté de 1867 et dédicacé à mon cher ami le poète Paul Verlaine, publié le 6 mai 2015 sur le site Sotheby's (consulté le 2 mars 2020).
- « Salle Bazille (Numéro d'inventaire 85.5.3) : Nature morte au héron », sur musée Fabre (consulté le 2 mars 2020).
- « Salle Bazille (Numéro d'inventaire 56.13.1) : Les remparts d'Aigues-Mortes », sur musée Fabre (consulté le 2 mars 2020).
- Les remparts d'Aigues-Mortes vus par Frédéric Bazille s'exposent à Montpellier, publié le 18 mai 2016 par Sandrine Navas, sur le site de France 3 Occitanie (consulté le 2 mars 2020).
- Réunion de famille (1867), publié le 16 février 2009 sur le site du musée d'Orsay (consulté le 2 mars 2020).
- (en) « Porte de la Reine at Aigues-Mortes (Reference Number 1988.221) », sur The Met, 2019 (consulté le 2 mars 2020).
- « Self-Portrait (Reference Number 62.39) », sur Minneapolis Institute of Art (consulté le 2 mars 2020).
- (en) « Pêcheur à l'épervier », sur Arp Museum (consulté le 5 juin 2022).
- La jeune fille et l'enfant du métayer italien de la ferme, propriété de la famille Bazille.
- « Vue de Village », sur Musée Fabre (consulté le 5 juin 2022).
- La comète Bazille, publié le 30 novembre 2016 par Éric Bietry Rivierre, sur le site Le Figaro (consulté le 2 mars 2020).
- (en) Harvard, « From the Harvard Art Museums’ collections Summer Scene (Bathers) », sur www.harvardartmuseums.org (consulté le 16 janvier 2019).
- « Woman in a Moorish Costume » Norton Simon Museum », sur www.nortonsimon.org (consulté le 16 janvier 2019).
- « La Toilette », sur Musée Fabre (consulté le 5 juin 2022).
- Manuela France, « Grâce à Bazille, le nu prend corps », Ça m'intéresse, no 461, juillet 2019, p. 76-77.
- L'atelier de Bazille, publié le 16 février 2009 sur le site du musée d'Orsay (consulté le 3 juin 2018).
- « Landscape by the Lez River, Jean-Frédéric Bazille ^ Minneapolis Institute of Art », sur collections.artsmia.org (consulté le 16 janvier 2019).
- Exposition : Jusqu’en juillet, à Paris, le musée d’Orsay rend sa juste place au «Modèle noir», publié le 6 juin 2019 sur le site de La Voix du Nord (consulté le 27 juillet 2020).
- « 39 / La modernité de 1850 à 1914 / Parcours moderne / GRANDS PARCOURS / PARCOURS / COLLECTIONS / Musée Fabre », sur museefabre.montpellier3m.fr (consulté le 16 janvier 2019).
- Artemis C. G. Boerner, « Publicité », Connaissance des arts n° 610, novembre 2003, p. 153.
- « Frédéric Bazille : un peintre fulgurant - Il était un Peintre », 3 décembre 2023 (consulté le 3 décembre 2023).
- (en) Dianne W. Pitman, Kermit Swiler Champa et David A. Brenneman (éditeur scientifique), Monet & Bazille : a collaboration (catalogue d'exposition), New York, High Museum of Art / M. H. Abrams, 1999, 107 p., 32 cm (ISBN 0-8109-6384-1 et 9780810963849, OCLC 39936843, BNF 37182174, présentation en ligne).
- Frédéric Bazille, la jeunesse de l'impressionnisme, publié sur le site du musée Fabre (consulté le 25 février 2020).
- « Frédéric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l'impressionnisme », sur musée d’Orsay (version du 24 novembre 2016 sur Internet Archive) (consulté le 25 février 2020).
- (en) Frédéric Bazille and the Birth of Impressionism, publié sur le site du National Gallery of Art (consulté le 25 février 2020).
- (en) Frederic Bazille and the Birth of Impressionism, 2016, 334 p. (ISBN 978-2-08-020285-7).
- Ami de Bazille, très proche par la musique.
Voir aussi
Bibliographie
Frédéric Bazille (1867), Album Manet,
Paris,
BNF.
- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, t. 1 : A-C, Paris, Gründ, 1939, XI-1056 p., in-8 (OCLC 311001663, BNF 44313173, présentation en ligne, lire en ligne), p. 441.
- Frédéric Bazille et ses amis impressionnistes, catalogue de l'exposition au musée Fabre (Montpellier) et au Museum of Art de Brooklyn (États-Unis), juillet 1992-janvier 1993, Paris, Réunion des Musées nationaux et Brooklyn, Art Museum, 1992.
- Didier Vatuone et Guy Barral, Correspondance de Frédéric Bazille, Nouvelles Presses du Languedoc, 1992 (ISBN 978-2-85998-105-1).
- François-Bernard Michel, Frédéric Bazille : Réflexions sur la peinture, la médecine, le paysage et le portrait, les origines de l'impressionnisme…, Grasset, 1992 (ISBN 978-2-246-44941-6).
- Valérie Bajou, Frédéric Bazille, 1841-1870, Édisud, 1993 (ISBN 978-2-85744-681-1).
- Pascal Bonafoux, Bazille, les plaisirs et les jours, Herscher, coll. « Le musée miniature », 1994 (ISBN 978-2-7335-0240-2).
- Michel Schulman, Frédéric Bazille, 1841-1870, Editions de l'Amateur, coll. « Éditions des Catalogues Raisonnés », 1996 (ISBN 978-2-85917-197-1).
- (en) Dianne W. Pitman, Bazille: Purity, Pose, and Painting in the 1860s (Bazille: pureté, pose et peinture dans les années 1860), Pennsylvania State University Press, 1998, 300 p. (ISBN 978-0271017006)
- (en) Barbara Ehrlich White, Impressionists Side by Side: Their Friendships, Rivalries, and Artistic Exchanges : Impressionnistes côte à côte. Leurs amitiés, rivalités et échanges artistiques, Alfred A. Knopf, 1999 (ISBN 978-0679443179).
- François Daulte, Frédéric Bazille et les débuts de l'impressionnisme. Catalogue raisonné de l'œuvre peint, coll. « Catalogues raisonnés », 2001 (ISBN 978-2-85047-182-7).
- Marianne Delafond et Caroline Genet-Bondeville, Frédéric Bazille (Catalogue de l'exposition au musée Marmottan Monet), La Bibliothèque des Arts, 2003, 93 p. (ISBN 2-88453-111-4).
- Lucile Encrevé, « Gaston Bazile », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 210-211 (ISBN 978-2846211901).
- Collectif, Michel Hilaire, sous la direction de Paul Perrin, catalogue de l'exposition « Frédéric Bazille. La jeunesse de l’impressionnisme », Paris, 2016, musée d'Orsay / Flammarion (ISBN 978-208-138-82-15).
- (en) Valérie M. C. Bajou, Grove Art Online, Oxford University Press, 1996 (ISBN 978-1-884446-05-4, lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes